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Appels à contribution

Nouvelles Francographies

Résumé de l'annonce (2 lignes maximum): 
Appel à contribution pour Nouvelles Francographies, revue de la Société des Professeurs Français et Francophones d'Amérique (SPFFA).
Nouvelles Francographies, revue de  la Société des Professeurs Français et Francophones d'Amérique (SPFFA), sollicite des articles innovateurs de 3000 à 4000 mots (format MLA) portant sur la littérature française et francophone, le cinéma, les études culturelles, la théorie littéraire et tout domaine de recherche lié au français. La date limite de réception des articles pour le numéro 3 est fixée au 1er avril 2012. La revue publie exclusivement en français. Nous sollicitons également des comptes rendus de livres portant sur les thèmes mentionnés plus haut (maximum 1200 mots). L’identité des auteurs n’étant pas révélée aux lecteurs qui évaluent les articles, nous vous demandons de ne faire mention ni de votre nom, ni de votre affiliation universitaire ou d’aucune autre référence qui pourrait permettre de vous identifier dans votre article. Votre message électronique doit fournir votre nom, le titre de l’article, votre adresse postale, votre affiliation universitaire ou professionnelle, votre numéro de téléphone et votre courriel. Votre article doit être formaté conformément aux consignes standards suivantes : écriture Times New Roman 12, style MLA pour les citations, notes de bas de page, et bibliographie indiquant les références complètes. Les textes doivent être envoyés par courriel, en fichier attaché (format Word), à l'adresse suivante: nouvellesfrancographies@gmail.com Responsable : Sabine Loucif Url de référence : http://spffa.org/NouvellesFrancographies.html Adresse : Sabine LoucifHofstra University Department of Romance Languages and Literatures107 Hofstra University Hempstead, NY 11549USA
Nom du contact: 
Sabine Loucif
Courriel du contact: 
nouvellesfrancographies@gmail.com
Adresse postale: 
fHofstra University Department of Romance Languages and Literatures107 Hofstra University Hempstead, NY 11549USA
Suggéré par: 
Nancy Murzilli
Courriel: 
nancymurzilli@gmail.com
Date de début ou date limite de l'événement: 
01/04/2012
Ville de l'événement: 
New York (USA)
Type d'événement: 
Appels à contribution
Catégorie principale: 

Loxias, 37 (juin 2012): "Arts et Littératures des Mascareignes"

Résumé de l'annonce (2 lignes maximum): 
Appel à contribution pour la revue Loxias sur le thème "Arts et Littératures des Mascareignes".
Loxias 37 (15 juin 2012) En prenant acte du fait que, à part quelques grandes figures diffusées par des éditeurs importants (Malcolm de Chazal, Ananda Devi, Axel Gauvin…) ou distribués sur les scènes populaires (Ziskakan, Daniel Waro…), les arts et les littératures des Mascareignes (Maurice, Rodrigues, Réunion) souffrent en Europe d’un déficit de notoriété, l’axe III du CTEL, « Littérature et communauté », souhaite réunir dans un numéro de Loxias des contributions permettant un accès raisonné à cette « terra incognita ». Les contributions seront motivées par le souci de présenter des écrivains, des musiciens, des artistes plastiques etc., mais aussi des courants ou des tendances, de façon à susciter le désir de les découvrir. Ce qui pourra être effectué par le biais d’une monographie sur un auteur ou un artiste, une présentation historique sur un mouvement, un essai sur des questions particulières, comme, entre autres, le rapport à l’histoire, l’interculturalité, les mythes fondateurs, le dépassement des dualismes (local/global, centre/périphérie, national/transnational, …), et ce, que ce soit dans une perspective post-coloniale ou en recourant à toute autre théorie destinée à être dûment opérationnelle dans le corpus choisi. Patrick Quillier et Odile Gannier Université de Nice-Sophia Antipolis, CTEL, Axe III « Littérature et communauté »   Modalités pratiques Adresser les propositions d’une demi-page accompagnées d’un CV succinct, en même temps à gannier@unice.fr ET p.quillier@orange.fr pour le 15 mars 2012. Les textes dont le principe aura été accepté seront à remettre pour le 20 avril 2012. Compte tenu des délais serrés, il est demandé aux contributeurs de respecter les dates indiquées. Prière de nommer le fichier NOM DU CONTRIBUTEUR_sujet_resume.doc ou .rtf (pas de .docx, .odt, .wps, …)   Responsable : Patrick Quillier et Odile Gannier Url de référence : http://revel.unice.fr/loxias Adresse : UFR Lettres, Arts et sciences humaines, 98 Bd Edouard Herriot, BP 3209, O6204 Nice Cedex 3
Nom du contact: 
Odile Gannier
Courriel du contact: 
gannier@unice.fr
Adresse postale: 
UFR Lettres, Arts et sciences humaines, 98 Bd Edouard Herriot, BP 3209, O6204 Nice Cedex 3
Suggéré par: 
Nancy Murzilli
Courriel: 
nancymurzilli@gmail.com
Date de début ou date limite de l'événement: 
15/03/2012
Ville de l'événement: 
Nice
Type d'événement: 
Appels à contribution
Catégorie principale: 
Mots-clés: 
loxias, arts et littératures

Littérature et appétit des savoirs

Résumé de l'annonce (2 lignes maximum): 
Appel à contribution pour un volume collectif sur littérature et savoirs qui sera publié aux Presses de l’Université de Burgos
Littérature et appétit des savoirs, exploration de quelques accointances emblématiques Appel à contribution. Date limite pour le dépôt des propositions : 30 avril 2012. Date limite pour la remise des textes : 30 novembre 2012. Dans un cadre privilégiant fondamentalement la littérature française et, sur un mode comparatiste, les littératures ayant subi son influence, il s’agira d’explorer les relations qu’a entretenues et qu’entretient la littérature avec les différents savoirs. À travers l’exercice intellectuel et le goût de l’invention, se produit une rumination et une digestion des savoirs que postulait déjà Montaigne, quitte à se défier de certaines formes de gloutonnerie intellectuelle : « Que nous sert-il d’avoir la panse pleine de viande, si elle ne se digère, si elle ne se transforme en nous ?si elle ne nous augmente et fortifie ? » (Du pédantisme », Essais, I, 24). Démultiplié par l’invention de l’imprimerie dans le cadre de la Galaxie Gutenberg, un appétit des savoirs colossal et contagieux se manifeste à la Renaissance dans les disciplines les plus variées, savoirs puisés dans la civilisation gréco-romaine, nourris des apports de l’Orient comme de l’oralité médiévale, mais relus, repensés, réinterprétés. Ainsi l’humanisme tend-il déjà au savoir encyclopédique. Les libertins du XVIIe siècle, Gassendi, Cyrano de Bergerac ou Théophile de Viau, entrent dans une ronde où philosophie, science et littérature se tiennent par la main. La libido sciendi, les phénomènes de babélisation, les constructions utopiques héritées du siècle précédent trouvent une cohérence au sein d’une époque qui commence à mettre en ordre cette gaiascientia. A partir de la fin du XVIIIe siècle, les avancées  des sciences et des techniques favorisent une révolution industrielle, inspirent une idéologie du progrès, donnent crédit, un peu plus tard, à la pensée positiviste de Claude Bernard et d’Auguste Comte, aux thèses de Darwin sur l’évolution des espèces, renforçant le pouvoir de la science vis-à-vis de la métaphysique. Face à un discours scientifique de plus en plus spécialisé, à ses capacités d’inventaire, de prévision, de mise en ordre du monde, largement diffusées à l’échelle de la société civile dans un souci de vulgarisation, la littérature se voit contrainte d’actualiser sa capacité à interpréter, recréer, donner à l’humain un nouveau sens. Mimant, parodiant le discours des savoirs ou s’inscrivant en faux contre lui, la littérature fraie de nouvelles voies de connaissance du monde physique et psychologique, mue par un appétit d’assimilation et de fictionnalisation d’éléments cognitifs dans le tissu de l’imaginaire. Le récit des grandes découvertes, l’évocation de divers aspects de la recherche scientifique, ou encore la mise en scène de la figure du savant sont autant d’indices de la poétisation dont la science et les savoirs ont ainsi pu faire l’objet : au-delà des enjeux esthétiques, la littérature enregistre, voire fixe la trace de leurs manifestations multiformes, dès lors qu’elle entend s’interroger sur la définition de la sagesse ; mais par-delà cette tâche séculaire, la littérature, en particulier dans ses modalités contemporaines, semble avoir fréquemment pour visée, à travers l’éclatement des genres et des registres et la mise en exergue de ses propres mécanismes, de recoller les morceaux d’un miroir brisé. Les propositions seront adressées par courriel à Blanca Acinas (Université de Burgos) bacinas@ubu.es ou à François Géal (Ecole Normale Supérieure) francois.geal@ens.fr. Les auteurs sont priés de joindre quelques informations sur eux-mêmes, leurs publications et leurs axes de recherche. Une réponse leur sera donnée rapidement de façon à permettre l’édition d’un volume collectif de 200 pages environ dès la fin 2012, aux Presses de l’Université de Burgos. Responsable : Blanca Acinas Adresse : Université de BurgosFacultad de HumanidadesC/ VilladiegoE- 09001 BURGOS
Nom du contact: 
Blanca Acinas
Courriel du contact: 
bacinas@ubu.es
Adresse postale: 
Université de BurgosFacultad de HumanidadesC/ VilladiegoE- 09001 BURGOS
Suggéré par: 
Nancy Murzilli
Courriel: 
nancymurzilli@gmail.com
Date de début ou date limite de l'événement: 
30/04/2012
Ville de l'événement: 
Burgos
Type d'événement: 
Appels à contribution
Catégorie principale: 
Mots-clés: 
littérature, appétit des savoirs, exploration

Si j'aurais su, j'aurais pas venu ! Linguistique des formes exclues : descriptions, genre, épistémologie

Résumé de l'annonce (2 lignes maximum): 
Appel à communication pour un colloque sur la Linguistique des formes exclues, organisé par le Centre de recherche LaDisco de l’Université Libre de Bruxelles.
Cadre En 2005, le numéro de Faits de Langues consacré à l’exception observait le phénomène à travers les rapports établis entre les théories linguistiques et l’expérience. Ce numéro se faisait l’écho de l’observation éclairante de Benveniste : « Bien des découvertes ont commencé par une observation semblable, un désaccord dans le système, une perturbation dans un champ, un mouvement anormal dans une orbite » (1966 : 35). Il nous semble souhaitable de revenir aujourd’hui sur ces formes exclues qui ont peu bénéficié de l’intérêt des linguistes, en élargissant notre intérêt à des questionnements discursifs et épistémologiques à propos des fonctionnement et signification non seulement de l’exception, mais aussi de l’exclusion et de la restriction. En effet, ces catégories, bien qu’elles forment les trois pôles d’un triangle sémantique couramment admis, restent empreintes de caractéristiques spécifiques sur lesquelles nous souhaiterions nous attarder. Objectifs Ainsi, les pistes que nous voudrions présenter à la réflexion ont trait tantôt aux formes linguistiques (1), tantôt aux genres de discours (2), tantôt encore à l’épistémologie et aux valeurs des pratiques linguistiques et didactiques (en ce compris le français langue étrangère) (3). (1) D’un point de vue linguistique, est-il possible de différencier l’exception et l’exclusion, voire la restriction ? Les voies empruntées pour répondre à cette problématique principale peuvent être morphosyntaxique et/ou sémantique. Dans le premier cas, l’on étudiera par exemple : la question des formes linguistiques rendant compte de l’exclusion, de la restriction et de l’exception, comme les rapports particuliers que ces formes instaurent avec un ensemble initial (le groupe-mère) qui représente l’échantil ou la norme ; la combinatoire des formes exceptives ou exclusives avec des déterminants spécifiques ainsi que le statut et la valeur syntaxique de ces tournures (i.e. mis à part, sauf, exception faite pour, à l’exception de, etc.) ; les types de constructions syntaxiques par lesquelles elles sont rendues : phrases nominales, tournures marginales, recours au parenthésage, ordre atypique ; les irrégularités des paradigmes (par exemple de conjugaison ; i.e. vous disez) qui alimentent les vieux débats sur l’opposition analogie/anomalie. les approches typologiques diachroniques, comparatives, et/ou contrastives constituent également des pistes possibles. Dans une perspective sémantique et expressive, il serait intéressant notamment d’analyser : les spécificités voire les recouvrements de sens des formes restrictives, exceptives et exclusives ; les différentes manières de lier la partition (rendues par des locutions telles que mis à part, exception faite, à moins que, sinon, etc.) à l’idée de hiérarchisation, de valorisation ou de dévalorisation, ainsi que la fonction sémantique des entités exclues ; les rapports sémantiques établis entre les entités considérées dans les SN introduits par mis à part, par exemple, et les SN de la phrase principale ; la diversité des rapports méronymiques entre le groupe originellement constitué (le groupe-mère) et les sous-groupes exclus ou exceptés. (2) Pour ce qui est du deuxième axe d’étude, l’accent peut être mis à la fois sur les genres de discours (existe-t-il des genres propices à l’expression des formes exclusives ?) et sur leurs usages énonciatifs et rhétoriques. Citons en guise d’exemples : l’existence de traits de style particuliers (à l’oral comme à l’écrit), la configuration textuelle, la liste (liste noire, liste rouge, etc.), les procédés rhétoriques (i.e. la dissociation des notions) et les stratégies argumentatives telles que le recours à des procédés d’atténuation, de minimisation, de restriction, de détournement, d’euphémisation, de comparaison négative, etc. la notion de restriction (explicitée par des connecteurs tels que unless, à moins que, cf. axe 1) dans la chaine de raisonnement modélisée par Toulmin (1958). Partant, une autre voie aussi intéressante à explorer serait celle du questionnement des postulats de ce schéma argumentatif, ce qui ouvre la porte à un troisième axe de recherche, davantage épistémologique. (3) Les pratiques des linguistes, grammairiens et didacticiens (FLM et FLE) conduisent à sélectionner, parfois au gré des modes scientifiques, les sujets ou les formes linguistiques à aborder, au détriment de faits de langue pourtant fréquents dans les discours. Or, du point de vue épistémologique, il serait intéressant de s’interroger sur notre propre éthique : quelles sont nos valeurs et nos normes en matière de constitution de corpus et de transmission des usages et des savoirs ? quel est le degré de validité d’exemples tels que Je veux pas, Il faut pas qu’il vient, Vous faisez, Il neige et elle tient, Je parle très mieux que toi et je te merde ? est-il encore pertinent de travailler à partir d’énoncés fabriqués ? n’est-il pas temps de revoir les notions d’acceptabilité, d’agrammaticalité et de normes scolaires, alors que des énoncés dits « fautifs » sont devenus pratiques courantes (après que + subjonctif) ou, à fortiori, largement entrés dans la mémoire collective et donc devenus en quelque sorte des énoncés paradigmatiques (Si j’aurais su, j’aurais pas venu) ? Quelques références Al Bernard, « Plaidoyer pour une définition variable de la notion d'exception », Langue française, 66, 1985, p. 77-85.  Blanche-Benveniste Claire, « Grammaticalisation d’un terme de lieu : quelque part et mis à part », Recherches Sur le Français Parlé, 16, 2001, p. 83-101. Dalcq Anne-Elizabeth et al., Mettre de l’ordre dans ses idées, 2e éd., Bruxelles, De Boeck & Larcier, 2007. Fintel Karl Von, « Exceptive constructions », Natural Language Semantics, 1, 1993, p. 123-148. Frei Henri, La grammaire des fautes, Paris, P. Geuthner, 1929. Gaatone David, « L'exception comme empreinte de l'histoire dans la langue », Faits de Langues, 25, 2005, p. 191-198. Grevisse Maurice, Goosse André, Le Bon usage : grammaire française, 14e éd., Louvain-la-Neuve/Paris, De Boeck/Duculot, 2007. Gross Maurice, « La notion de règle et d’exception : l’exemple des groupes nominaux compléments directs sans déterminant », Cahiers de Linguistique, d’orientalisme et de slavistique. Mélanges de linguistique et de stylistique en hommage à Georges Mounin pour son 65e anniversaire II, Université de Provence, 1976, p. 41-52. Groupe d'étude en Histoire de la langue française (G.E.H.L.F.), Grammaire des fautes et français non conventionnels : actes du IVe Colloque international organisé à l'Ecole normale supérieure les 14, 15 et 16 décembre 1989, Paris, Presses de l'Ecole normale supérieure, 1992. Jacquet-Pfau Christine, « Les référents de l’exception : linguistique du terme et validité de la notion », Faits de Langues, 25, 2005, p. 19-30. Kleiber Georges, « Détermination, indéfinis et construction partitive », Scolia, 20, 2005, p. 209-239. Kleiber Georges, « Comment se ‘’règle’’ linguistiquement l’exception : petite sémantique des constructions exceptives », Faits de Langues, 25, 2005, p. 39-52. Leeman-Bouix Danielle, Les fautes de français exsistent-elles ?, Paris, Seuil, 1994. Manzotti Emilio, « I costrutti cosiddetti eccettuativi in italiano, inglese e tedesco: semantica e pragmatica », Linguistica e traduzione, Atti del seminario di studi, Premeno (Novara), Villa Bernocchi, 25-27 settembre, a c. di Vincenzo Bonini e Marco Mazzoleni, 1987, p. 67-110. Manzotti Emilio, Toma Alice, « L’exception, la réserve et la condition complexe », Analele Universităţii din Bucureşti. Limba şi literatura romană, Bucureşti, 2007. Moignet Gérard, Les signes de l’exception dans l’histoire du français, Genève, Droz, 1959. Nordon Didier, « L’exception qui infirme la règle », Faits de Langues, 25, 2005, p. 31-38. Piot Mireille, « Sur la nature des fausses prépositions sauf et excepté », French Language Studies, 15, 2005, p. 297-314. Plantin Christian, Essais sur l’argumentation, Paris, Kimé, 1990. Reichler-Béguelin Marie-José, « L’approche des ‘’anomalies’’ argumentatives », Pratiques, 73, 1992, p. 51-78. Rosier Laurence, « La partition inverse dans à part + quelques N : de la quantification à la qualification », Scolia, 20, 2005, p. 275-288. Toulmin Stephen, The Uses of Argument, Cambridge, U. Press, 1958. Traduction française par de Brabanter Philippe, Les usages de l’argumentation, Paris, PUF, 1993. Touratier Christian, « La règle et l’exception : Avant propos », Travaux, 6, 1988. Vilkou-Poustovaïa Irina (dir.), Faits de langues : L’exception entre les théories linguistiques et l’expérience, 25, Paris, Ophrys, 2005. Modalités de soumission Les propositions de communication (de deux pages maximum, bibliographie comprise) devront être renvoyées avant le 1 septembre 2012 aux trois adresses suivantes : lrosier(at)ulb.ac.be (Laurence Rosier), dvanraem(at)ulb.ac.be (Dan Van Raemdonck), aroig(at)ulb.ac.be (Audrey Roig). Notification d'acceptation Le 15 octobre 2012. Critères de sélection Toute proposition doit être un travail original et non publié, en français. Chaque soumission fera l’objet d’une évaluation anonyme, en fonction de critères tels que l’originalité de la proposition, la précision de son contenu, le caractère empirique de l’étude et sa clarté. Comité d’organisation Centre de recherche LaDisco de l’Université Libre de Bruxelles. http://ladisco.ulb.ac.be Comité scientifique Avanzi Mathieu (Université de Neuchâtel), Choi-Jonin Injoo (Université de Toulouse II – Le Mirail), Defays Jean-Marc (Université de Liège), Dufaye Lionel (Université Paris-Est Marne la Vallée), Fuchs Catherine (Lattice / ENS Paris), Gournay Lucie (Université Paris-Est Marne la Vallée), Hambye Philippe (Université Catholique de Louvain), Kleiber Georges (Université de Strasbourg), Manzotti Emilio (Université de Genève), Mignon Françoise (Université de Perpignan Via Domitia), Moïse Claudine (Université de Grenoble), Neveu Franck (Université de Caen), Reichler-Béguelin Marie-José (Universités de Neuchâtel et de Fribourg), Salvan Geneviève (Université de Nice Sophia Antipolis). Conférenciers invités Emilio Manzotti (Université de Genève), Claudine Moïse (Université de Grenoble), Franck Neveu (Université de Caen), Geneviève Salvan (Université de Nice Sophia Antipolis), Marc Wilmet (Université Libre de Bruxelles).   Responsable : Ladisco Url de référence : http://ladisco.ulb.ac.be/ Adresse : Université Libre de BruxellesCP 175Avenue F.D. Roosevelt 501050 BruxellesBelgique
Nom du contact: 
Laurence Rosier
Courriel du contact: 
lrosier@ulb.ac.be
Adresse postale: 
Université Libre de BruxellesCP 175Avenue F.D. Roosevelt 501050 BruxellesBelgique
Suggéré par: 
Nancy Murzilli
Courriel: 
nancymurzilli@gmail.com
Date de début ou date limite de l'événement: 
01/09/2012
Ville de l'événement: 
Bruxelles
Type d'événement: 
Appels à contribution
Catégorie principale: 
Mots-clés: 
LaDisco, linguistique
Site web de référence: 

Journée d'étude La rencontre

Résumé de l'annonce (2 lignes maximum): 
Appel à contribution pour une journée d'étude sur le thème de La rencontre, organisée le mardi 5 juin 2012 à l’université de Lille 3 Charles-de-Gaulle par le laboratoire Alithila.
« (…) rencontre, c’est-à-dire : étincelle ; éclair ; hasard ». Cette définition proposée par Milan Kundera dans son essai Une rencontre (Folio, 2009), emprunte à la conception surréaliste de la rencontre : pour Breton, comme pour son précurseur Lautréamont, la rencontre fortuite - et dans le meilleur des cas insolite - de divers éléments totalement étrangers les uns aux autres est une source suprême de beauté et de plaisir esthétique. Par « rencontre », on entend donc que « quelque chose se passe » de l’ordre de l’étincelle, de l’éclair, quelque chose qui peut être la source de beautés surprenantes  « comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d’une machine à coudre et d’un parapluie ! ». Il nous a semblé intéressant d’interroger ce caractère fécond de la rencontre dans le domaine littéraire, de sortir des limites d’une définition surréaliste dont la portée reste essentiellement esthétique. De fait, que ce soit en amont, du côté des processus créatifs de composition, ou bien en aval, du côté de la réception du texte, la littérature semble émaillée de rencontres diverses qui sont l’occasion du jaillissement de beautés nouvelles autant qu’inattendues. Nous nous proposons donc, durant cette journée d’étude, d’élargir la perspective, de nous réapproprier cette notion de rencontre, pour en questionner la portée dans le domaine littéraire. Quatre pistes sont ainsi proposées, dans lesquelles pourront s’inscrire les communications sur le thème donné : -    La rencontre comme thème littéraire ou encore comme sujet possible de l’oeuvre littéraire, par exemple, la « scène de rencontre », sorte de « morceau littéraire » traditionnel, notamment dans le genre romanesque (Jean Rousset) ; mais aussi la rencontre comme sujet principal d’une pièce de théâtre, d’un roman, d’un essai, d’un poème… -    La rencontre au sein d'un même texte de différentes « voix » auctoriales, sous forme d'intertexte / d'hypertexte (Genette) ; il est intéressant de se demander comment s'opère cette rencontre, la forme qu’elle peut prendre : celle d’un jeu, d’un hommage, d’un dialogue avec la tradition. On pourrait encore envisager la rencontre sous l’angle de la théorie de la réception, voire de l’inscription du lecteur au sein du texte. -    La rencontre du point de vue stylistique et formel ; si la métaphore semble le procédé le plus évident, d’autres figures de la rencontre peuvent être évoquées, comme celle des divers mètres en poésie. -    La rencontre pourra enfin être appréhendée ici dans son sens originel d’« affrontement » ou d’« attaque », autrement dit dans une perspective plus  sportive ou offensive. On pourra dans cette veine se pencher sur une littérature « malencontreuse », qu’il s’agisse d’une mauvaise rencontre à la source d’un échec littéraire ou du caractère intempestif d’une oeuvre qui aurait rencontré un public peu réceptif… Modalités d’inscription : Cette journée d’étude est ouverte à tous, doctorants et jeunes chercheurs en particulier, que ce soit en littérature française, en littérature étrangère, en langues anciennes ou en linguistique. Les propositions devront contenir 250 mots et être accompagnées d’une notice bio-bibliographique d’environ 15 lignes, permettant de retracer le parcours de l’intervenant lors de sa présentation. Les propositions devront être envoyées d’ici le 23 mars à l’une des adresses suivantes : juliette.lormier@gmail.com , c.capone@free.fr , juliezamorano@gmail.com . La sélection des propositions aura lieu fin mars. Les communications ne devront pas dépasser 20 minutes. Julie Zamorano, Carine Capone, Juliette Lormier, doctorantes du laboratoire Alithila, Université de Lille 3 Responsable : Julie Zamorano, Carine Capone, Juliette Lormier (doctorantes du laboratoire Alithila)
Nom du contact: 
Julie Zamorano
Courriel du contact: 
juliezamorano@gmail.com
Adresse postale: 
Université de Lille 3
Suggéré par: 
Nancy Murzilli
Courriel: 
nancymurzilli@gmail.com
Date de début ou date limite de l'événement: 
23/03/2012
Ville de l'événement: 
Lille
Type d'événement: 
Appels à contribution
Catégorie principale: 
Mots-clés: 
rencontre

J’avais une parole à transmettre ». Création et réceptions : François Mauriac et les autres

Résumé de l'annonce (2 lignes maximum): 
Appel à communication pour le XXVIe colloque international François Mauriac à l'Université Masaryk, Brno (République tchèque) organisé les 17 et 18 mai 2012 par le Département de langue et littérature françaises de la Faculté de Pédagogie de l’Université Masaryk (Brno) et le Centre Mauriac/EA TELEM n°4195 de l’Université Michel de Montaigne Bordeaux3 en collaboration avec le Centre François Mauriac de Malagar (Région Aquitaine) et la SIEM (Société Internationale des études mauriaciennes).
Tout au long de sa carrière, François Mauriac sera à la fois contesté et salué par la critique et ne cessera pas de s’interroger sur le retentissement de ses écrits et sur la pérennité de son oeuvre littéraire. Fidèle aux valeurs auxquelles il croit et confronté aux bouleversements de son siècle, Mauriac, polygraphe, tente d’évaluer au fur et à mesure de sa production, la part de son oeuvre qui suscite la plus large audience, qui est la mieux comprise ou la plus à même de durer. Mauriac souhaite une proximité avec son lectorat, mais ne cède pas pour autant aux modes littéraires, aux humeurs du public ni aux fluctuations de la critique. Si la question de la réception demeure incertaine, elle renvoie Mauriac à la seule certitude qui l’habite : «  J’avais une parole à transmettre » [1]. Quelle parole fait entendre Mauriac aujourd’hui ? Celle d’un intellectuel qui n’a jamais cessé de s’engager dans la bataille des idées de son temps, comme en témoigne une oeuvre journalistique considérable ? Celle d’un romancier, devenu classique, et dont la tonalité catholique l’a tantôt rapproché, tantôt éloigné du public ? Celle d’un critique littéraire, souvent mal connu, ou encore celle d’un dramaturge à redécouvrir ? Ou enfin, celle du poète, qui sous-tend l’ensemble de l’oeuvre ? A partir de l’exemple de Mauriac, de ses contemporains ou de ses successeurs, le colloque s’attachera à mettre en parallèle les intentions de l’auteur avec la façon dont ses écrits sont reçus. De la genèse de l’oeuvre à ses différentes formes de réception, comment se construit, se développe, évolue et peut se modifier l’image d’un écrivain et celle de son oeuvre dans une société donnée ? Enfin, de quelle manière apprécier l’influence et le rôle de l’écrivain dans la vie intellectuelle d’aujourd’hui?   Un résumé détaillé de la proposition de communication (environ 300 mots ou 1 500 signes) devra être adressé au plus tard le 15 mars 2012 à l’adresse électronique suivante : bakesova@ped.muni.cz Il sera examiné par le comité scientifique du colloque. Le programme définitif sera arrêté le 15 avril. A l’issue du colloque, le comité scientifique sélectionnera les communications qui feront l’objet d’une publication.   Comité scientifique du colloque : Philippe Baudorre, Caroline Casseville, Jacques Monférier, Jean Touzot, Václava Bakešová, Pavla Doležalová, Marcela Poučová et Jiří Šrámek.   Comité d’organisation – contacts : Václava Bakešová –   bakesova@ped.muni.cz Marcela Poučová  –   poucova@ped.muni.cz Caroline Casseville – caroline.casseville@u-bordeaux3.fr Jean-Claude Ragot – jean-claude.ragot@malagar.aquitaine.fr   Le colloque est organisé sous le haut patronage du maire de la ville statutaire de Brno, Monsieur Roman Onderka, et du doyen de la Faculté de Pédagogie de l’Université Masaryk de Brno, Monsieur Josef Trna. [1] François Mauriac, Nouveaux Mémoires intérieurs, in Oeuvres autobiographiques, Bibliothèque de La Pléiade, Gallimard, 1990, p. 773. Responsable : Caroline Casseville
Nom du contact: 
Václava Bakešová
Courriel du contact: 
bakesova@ped.muni.cz
Suggéré par: 
Nancy Murzilli
Courriel: 
nancymurzilli@gmail.com
Date de début ou date limite de l'événement: 
15/03/2012
Ville de l'événement: 
Brno (R. Tchèque)
Type d'événement: 
Appels à contribution
Catégorie principale: 
Sous-catégorie: 
Mots-clés: 
colloque international, François Mauriac

Projet d’ouvrage Les écritures migrantes dans le roman francophone.

Résumé de l'annonce (2 lignes maximum): 
Appel à contribution pour un ouvrage collectif sur Projet d’ouvrage Les écritures migrantes dans le roman francophone.
Aujourd’hui, la destruction de la notion d’État au profit d’autres comme "village planétaire"(Marshall Mc Luhan), de trans-nation, s’accompagne d’une réalité sociale : le flux migratoire ou  la mobilité de façon générale. La littérature semble faire ses délices de cette mobilité et de ses aménagements figuratifs mais aussi de ses extensions métaphoriques ou mouvement, transition, transit, déplacement, transfert, éphémère et autres "identités fictives" (Roland Barthes) ou rhizomatiques (Glissant) de la transition prolifèrent. Cette tentative de représentation de la mobilité sociale rencontre des essais de systématisation comme la littérature migrante ou pour reprendre les termes de Chevrier, « une littérature de la migritude » (2006 : 159). La littérature migrante, dernier avatar du questionnement de la migration en littérature, se présente comme une écriture de l’entre-deux. Sa mise en conditionnement est liée à un tryptique : le trauma du départ, la prise en charge de la mobilité, et l’intégration des nouveaux déplacés et des migrants. Dans le cas spécifique de  l’Afrique noire, on note un nombre de plus en plus imposant d’écrivains qui migrent, produisent en s’inscrivant dans le schéma ainsi défini (Afrique-voyage-intégration).On pourra citer, entre cent, Louis Philippe Dalembert (Les dieux voyagent la nuit, 2006), Patrice Nganang (Le principe dissident, 2005) , Fabienne Kanor (D’eaux douces, 2003) , Sami Tchak ( Place des fêtes, 2001), Paula Jacques (Lumière de l’oeil, 1980), Marie Cardinal (Au pays de mes racines, 1980) . De leur terre d’accueil, ils réalisent des oeuvres littéraires particulièrement caractérisées par la thématique de l’obsession du pays d’origine, de l’errance ou de la mobilité, de la mouvance identitaire et culturelle, de l’hybridité ou du mixage identitaire.  Et, de toute évidence, cette tendance, nimbée d’un halo transculturel et inspirée de la World Literature, se signale partout, en Europe, en Asie, en Amérique et en Afrique. L’objectif de ce projet d’ouvrage collectif est donc d’aborder la question des écritures migrantes (dans le roman francophone) dans la dynamique de la mobilité, du transfert, de la poétique de l’exil, de la mouvance identitaire et culturelle.  En effet, l’examen de la question dans le roman francophone est intéressant dans la mesure où il permet d’explorer ses formes, le type de discours  développé ainsi que les enjeux. Les contributions pourront explorer les questions en rapport avec les écritures migrantes dans le roman francophone. Le comité scientifique sera particulièrement attentif aux assises théoriques des différentes contributions ainsi qu’au respect du chronogramme.  Par ailleurs, il a esquissé quelques axes de réflexions qui constituant les cadres de référence dans lesquels pourraient se faire les propositions d’article : ·         Les formes des écritures migrantes dans le roman  francophone. ·         Ecriture migrante, écriture identitaire ? ·         L’écriture migrante : les traits caractéristiques                              ·         Enjeux et perspectives des écritures migrantes dans le roman francophone ·         Les romans migrants entre nostalgie et réalités des pays d’accueil. Calendrier: Nous vous invitons à nous faire parvenir votre proposition d’article en français ( 300 mots maximum), accompagnée d’une brève présentation bio-bibliographique avant le 15 mars  2012 aux  adresses suivantes : zigoliantonin@yahoo.fr / konanyaolouis@yahoo.fr L'avis du comité scientifique portant sur les propositions : 30 mars 2012 Les articles entièrement rédigés, en Times New Roman 12 ; interligne 1 et de 15 pages maximum devront être envoyés avant le : 31 juillet 2012 L’avis du comité scientifique après examen des articles : 15 septembre 2012 Retour des articles retenus et révisés (si nécessaire) par les auteurs : 30 septembre 2012 décembre  2012 : Publication de l’ouvrage   Responsables : Zigoli Antonin Université de Cocody/Abidjan 00225/ 08 82 06 68   Konan Yao Louis Université de Bouaké 00225/ 05 91 23 51
Nom du contact: 
Zigoli Antonin
Courriel du contact: 
zigoliantonin@yahoo.fr
Adresse postale: 
Université de Cocody/Abidjan 00225/ 08 82 06 68
Suggéré par: 
Nancy Murzilli
Courriel: 
nancymurzilli@gmail.com
Date de début ou date limite de l'événement: 
15/03/2012
Ville de l'événement: 
Abidjan (Côte d'Ivoire)
Type d'événement: 
Appels à contribution
Catégorie principale: 
Mots-clés: 
écritures migrantes

Colloque International Langages-Cultures-Sociétés : interrogations didactiques - 20-22 juin 2012

Résumé de l'annonce (2 lignes maximum): 
Appel à communication pour le Colloque international du DILTEC organisé à Paris du 20 au 22 juin 2012.
Le laboratoire de didactique des langues, des textes et des cultures (DILTEC, EA 2288) arrive à l'heure d'un bilan. A cette occasion, et au cours d’une réunion internationale à Paris les 20, 21 et 22 juin 2012, ses membres souhaitent mettre en regard les résultats de leurs travaux avec ceux obtenus dans d'autres équipes et s’interroger ainsi sur les perspectives de recherche qui se dessinent dans le champ de la didactique des langues. En raison de la pluralité des domaines et des thèmes qui font l'objet des recherches de l'équipe, ce colloque s’organisera autour de quatre thèmes qui, par leurs orientations différentes et leurs recoupements partiels suscitent une réflexion sur les liens entre la didactique des langues et ses disciplines de référence. La compréhension des objets de la didactique des langues impose en effet un travail qui se situe à l’intersection de différentes disciplines qui, comme, la linguistique, la sociologie, la littérature, l’anthropologie, la psychologie, pour ne donner que quelques exemples, contribuent à éclairer les interrogations didactiques. Deux conférenciers invités ouvriront et fermeront le débat afin d'une part de déterminer les grandes tendances de la recherche dans nos domaines de par le monde et d'autre part de faire une synthèse des débats du colloque. Les travaux du DILTEC seront présentés par ses membres, au cours notamment de quatre conférences plénières. Le colloque, envisagé comme un lieu de rencontres et d’échanges, vise à souligner, à décrire, à analyser ou encore à interroger la complexité des relations qui se tissent entre langages, cultures et sociétés (tout comme entre les disciplines qui les étudient) dans les interrogations et recherches en didactique des langues. Pour envisager plus précisément un tel objectif, chacun des quatre axes thématiques suivants, dessinent des pistes et des cadres de réflexion autour desquels les propositions de communication s’articuleront. Thème 1 - Politiques Linguistiques éducatives Les institutions éducatives sont des acteurs décisifs des politiques linguistiques. Elles ont à charge d’assurer la transmission des langues et des savoirs, de diffuser les normes des langues officielles ou majoritaires dans le cadre de la variabilité… Elles constituent une instance de légitimation sociolinguistique... A ces titres, elles ont à valoriser, gérer et développer les répertoires de langues et de discours des apprenants, pour assurer la cohésion sociale, le développement personnel et professionnel, l’égalité des chances et pour répondre aux besoins linguistiques de l’Etat. Ces responsabilités requièrent d’imaginer, de mettre en oeuvre et d’évaluer, en fonction des contextes et des groupes d’apprenants concernés, des dispositifs adéquats en termes de finalités, objectifs, programmes et démarches d’enseignement, dans le cadre des équilibres démocratiques indispensables et de la prise en charge des réalités multilingues qu’il est devenu politiquement coûteux d’ignorer. Les propositions de communication porteront sur les questions posées par l’élaboration, la mise en place et l’analyse de tels dispositifs, qui concernent toutes les langues impliquées (de scolarisation, étrangères, régionales, minoritaires, apportées par les personnes migrantes, signées…) dans des contextes éducatifs comme les enseignements pré primaires, obligatoires, de second cycle (général et professionnel), universitaire, de formation continue… Thème 2 - Épistémologie et histoire Les communications pourront porter à nouveaux frais sur les objets traditionnellement étudiés en histoire et/ou en épistémologie des disciplines d’enseignement : processus de didactisation, de scolarisation et d’institutionnalisation des savoirs linguistiques ou littéraires ; recours de la didactique des langues aux théories de référence, notamment aux théories linguistiques ; rôle des disciplines contributoires (théories de l’acquisition, anthropologie culturelle – ou, plus largement, sciences de la culture –, sociolinguistique, théorie des interactions, psychologie et/ou linguistique cognitive…), etc. De façon plus large, on retiendra de préférence les propositions consacrées aux époques moderne et contemporaine et celles qui cherchent à dresser l’état des recherches les plus récentes en épistémologie de la didactique des langues. Certaines communications pourront faire écho aux travaux dirigés ou publiés dans le cadre du DILTEC et consacrés notamment à l’inscription de la didactique des langues au sein des sciences du langage et plus largement des sciences humaines et sociales ; aux apports de l’histoire (histoire des sciences et histoire des savoirs enseignés) à l’épistémologie des disciplines et aux liens qu’entretiennent histoire et épistémologie dans différents paradigmes épistémologiques ; au renouvellement conceptuel des recherches portant sur le plurilinguisme ; aux rapports entre distanciation scientifique et engagement personnel et/ou idéologique, à la portée éthique et déontologique de la réflexion historico-épistémologique dans le domaine. Qu’elles soient de type monographique ou à visée plus générale, les communications attendues auront trait également aux enjeux épistémologiques représentés par les dispositifs d’enseignement et de recherche en didactique des langues : organisation des cursus universitaires (programmes d’enseignement, création de postes, modalités de recrutement des enseignants…) et de la recherche (congrès, revues spécialisées, sociétés savantes, laboratoires…) dans différents contextes nationaux ou internationaux ; aux formes de diffusion et de vulgarisation des savoirs didactiques et aux effets en retour des pratiques d’enseignement ou de la demande sociale et politique sur l’organisation de la recherche dans le domaine ; aux modèles historiographiques disponibles et aux questions de méthode en histoire de la didactique des langues (périodisations, établissement des données, constitution de corpus, etc.) ; à la formation et/ou à l’organisation de traditions ou d’écoles de pensée dans le domaine de la didactique des langues ; aux conditions et aux formes d’inscription des enseignements consacrés à l’histoire/épistémologie de la didactique au sein des cursus universitaires de didactique des langues. Thème 3  - Contextualisations de l’action didactique L’action didactique qui s’exerce en direction d’un public d’apprenants est toujours inscrite dans un contexte, elle est située et diverse dans ses réalités. Mais sont aussi diverses les perspectives de recherche de celui qui l’observe et tente d’en rendre compte. Le contexte de l’action didactique peut être caractérisé à partir de variables assez largement acceptées telles que le contexte sociolinguistique (alloglotte ou homoglotte), le niveau scolaire (primaire, secondaire ou supérieur), le type de formation (initiale ou continue), l’âge des apprenants, la modalité de la situation d'exposition à la langue – guidée par un enseignant, apprentissage par immersion, acquisition naturelle non guidée, formelle ou informelle –, le statut sociolinguistique de l’enseignant (natif ou non-natif de la langue enseignée) ou, encore, le statut que l'on attribue à la langue/aux langues faisant l'objet d'une didactisation. Les dispositifs d’enseignements sont eux aussi autant de contextes, que ce soit dans le cadre de cours traditionnels, de cours faisant place à l’interaction ou encore de cours hybrides ou à distance par l’usage des technologies de l’information et de la communication. Ces variables servent à caractériser des contextes qui ne s’excluent pas forcément les uns les autres. Ces contextes interrogent fortement l’agir du professeur de langues, ses représentations et ses savoirs ainsi que l’exploration des modalités d’interaction : sa formation s’en trouve fondamentalement renouvelée. Nous invitons les participants à présenter des travaux qui s’attachent à la caractérisation des contextes dans leur relation avec l’action enseignante, dans leurs dimensions historiques, institutionnelles, sociolinguistiques et socio-politiques, mais aussi localement définis par les acteurs eux-mêmes, et ceci en partant d’enquêtes empiriques ou d’ investigations théoriques en didactique des langues sous l’un des angles suivants : discours de classe, registres discursifs et énonciatifs, description selon les contextes ; représentations des enseignants, des apprenants, de la société civile sur l’enseignement/apprentissage des langues : croyances, idéologies selon les environnements socioculturels ; formation profils et trajectoires d’enseignants, cultures d’enseignement et répertoires didactiques ; conception, mise en place et évaluation de tâches et de dispositifs d’enseignement/apprentissage des langues ; acquisition et appropriation du français en tant que langue étrangère et, des langues, parcours d’appropriation bilingue ou plurilingue selon divers contextes et selon les objets didactiques en circulation (interrogations par rapport à des références institutionnelles comme celles du CECR). Thème 4 - Cultures et langages en tension La mondialisation d’aujourd’hui succède à divers stades et formes de mondialisation, qui dans le passé n’ont cessé de mettre les cultures et les langages en tension, voire en opposition directe, à l’intérieur des mêmes sociétés, des mêmes espaces civilisationnels ou aux points de rencontre (ou de fracture) de ces espaces. Parmi ces tensions, l’une des plus frappantes concerne les relations entre les langues, nécessairement inégales et toujours instables. Ce que rappellent, entre autres, la diffusion de la littérature, l’économie de la traduction, celle de l’enseignement des langues étrangères et, plus largement, l’existence d’un « marché des langues ». Ces tensions affectent également, au-delà des différenciations sociales d’origine, les relations établies dans un même espace économique ou national par les sujets natifs et non natifs. En effet, les déplacements contraints ou volontaires des hommes et les diverses formes de plurilinguisme qu’ils favorisent sont une des caractéristiques de la mondialisation, qu’elles relèvent de l’immigration, de l’expatriation choisie ou du tourisme. Les propositions de communication pourront porter sur les grandes entrées suivantes : - Diversité des langues et des cultures : la dialectique du global et du local. Il importera de voir en quoi parler une même langue ne signifie pas nécessairement appartenir à une même culture, et de s’interroger sur la mesure dans laquelle la diversité des langues n’est pas nécessairement incompatible avec la convergence, voire l'unité, ou l’unification, ou la standardisation culturelles. Ce qui revient à prendre en compte la complexité de la dialectique du « global » et du « local ». Dans cette perspective, l’accent pourra être notamment mis sur le français et la littérature dans les espaces francophones. - Plurilinguisme et didactique de l’enseignement de langue et culture étrangères. Une attention particulière pourra être accordée aux conséquences de l’extension de grandes langues de communication qui met en cause même l’idée de « locuteur-natif » et qui accroît nécessairement le nombre des professeurs de langue non-natifs. De ce point de vue, la didactique renvoie aux interrogations sur la légitimité de l’enseignant de langue et de culture étrangères. - L’effet d’Internet et de la numérisation sur l’économie des langues et des cultures. Cette dimension, essentielle aujourd’hui dans la circulation et la transmission des savoirs, semble avoir pour effet de renforcer l’écriture et la circulation des textes et des informations dans des langues et des systèmes graphiques longtemps minorés. Parallèlement, la distribution entre l’oral et l’écrit (et entre les langues) se trouve modifiée et considérablement complexifiée. Enfin, la numérisation conduit également à un partage des images qui, par définition, sont nécessairement ambigües et ouvertes à l’interprétation. Trois conférenciers invités : Daniel Coste, Ėcole Normale Supérieure de Lyon, et Geneviève Zarate, INALCO. Jean-Marc Dewaele, Department of Applied Linguistics and Communication
 Birkbeck, University of London. Langues de communication : les présentations orales faites dans une autre langue que le français devront être accompagnées d’un document support (diapositives, texte) rédigé en français. Les communications sont de 20 minutes avec 10 minutes de questions. Soumission des propositions de communication : Un résumé de 500 mots est à envoyer pour le 15 février 2012 en précisant le thème (liste ci-dessus) dans lequel la communication s’inscrit. Ce résumé inclura une présentation du contexte, de la problématique théorique et de la démarche méthodologique. Dix références bibliographiques (non comptées dans le résumé) sont également attendues mais ne doivent pas mentionner l’auteur de la communication.   Pour soumettre votre proposition de communication, connectez vous sur : http://www.diltec.upmc.fr/fr/colloque_international_langages_cultures_societes/soumissions.html   Chaque proposition de communication sera en outre accompagnée d’un document joint mentionnant les informations suivantes : - 3 mots clés ; - nom et prénom des auteurs ; - statut et institution ; - adresse électronique   Chaque proposition de communication fera l’objet d’une double évaluation anonyme par le comité scientifique qui se prononcera sur la pertinence et la rigueur scientifique des soumissions.   Calendrier : Soumission de propositions de communication : 15 février 2012 Retour aux auteurs après expertise par le comité scientifique : 30 mars 2012   Comité Scientifique (en cours de constitution) : D. Abendroth-Timmer (Universität Siegen, Allemagne), F. Alvarez-Pereyre (Museum national d'histoire naturelle et Universtié Paris 7), J.C. Beacco (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3), H. Besse (ENS de Lyon), V. Bigot (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3), M. Candelier (Université du Maine), C. Carlo (Université Paris 8-Vincennes Saint Denis), V. Castellotti (Université François Rabelais, Tours), M. Causa (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3), P. Chardenet (Université de Franche-Comté), J.L. Chiss (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3), F. Cicurel (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3), A. Dakhia (Université Mohamed Khider-Biskra, Algérie), M. Derivry (Université Pierre et Marie Curie), J.M. Fournier (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3), E. Fraisse, (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3), C. François-Denève (Université de Versailles-Saint-Quentin en Yvelines), S. Galligani (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3), J. Joseph (University of Edinburgh), L. Küster (Humboldt-Universität zu Berlin, Allemagne), C. Leguy (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3), D. Macaire (Université Nancy 2), D. Manesse (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3), J.P. Narcy-Combes (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3), D. Pagel (FIPF), C. Puech (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3), E.M. Rollinat-Levasseur (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3), J.C. Sampieri (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3), D. Savatovsky (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3), V. Spaëth (Université de Franche-Comté), S. Stratilaki (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3), M.T. Vasseur (Université du Maine), D. Véronique (Université de Provence).   Comité d’organisation : Coordination : Jose Aguilar, Cédric Brudermann, Cécile Bruley, Malory Leclère-Messebel. Jean-Claude Beacco, Mariella Causa, Francine Cicurel, Martine Derivry, Emmanuel Fraisse, Stéphanie Galligani, Cécile Leguy, Danièle Manesse, Jean-Paul Narcy-Combes, Eve-Marie Rollinat-Levasseur, Dan Savatovsky, Corinne Weber. Et la participation de Catherine Muller, Laura Nicolas, Marie Rivière, Kasia Starosciak. Responsable : DILTEC (EA 2288) Adresse : DILTEC Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3 46, rue Saint-Jacques75005 Paris cedex 05
Adresse postale: 
DILTEC Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3 46, rue Saint-Jacques75005 Paris cedex 05
Suggéré par: 
Nancy Murzilli
Courriel: 
nancymurzilli@gmail.com
Date de début ou date limite de l'événement: 
15/02/2012
Ville de l'événement: 
Paris
Type d'événement: 
Appels à contribution
Catégorie principale: 
Mots-clés: 
DILTEC

Rousseau aujourd’hui

Résumé de l'annonce (2 lignes maximum): 
A l'occasion du tricentenaire de la naissance de Jean-Jacques Rousseau, la Faculté des Langues et Littératures étrangères de l’Université de Téhéran et l’Association Iranienne de Langue et Littérature Françaises (AILLF) organisent, avec la coopération du Service Culturel de l'Ambassade de Suisse en Iran, les 10 et 11 octobre 2012, un colloque international : Rousseau aujourd’hui.
Il s’agira de réfléchir d'une part, à la présence, l'héritage et la réception de Rousseau en Iran et, d’autre part, à l’actualité (voire l’inactualité) de Rousseau, afin de mettre en valeur les différentes réflexions suscitées  aujourd’hui encore, par la multiplicité de ses oeuvres et la singularité de son profil. Les comités scientifiques du colloque retiendront, parmi les propositions d’intervention qui leur seront soumises, celles qui répondront idéalement aux préoccupations contemporaines, qu’il s’agisse de littérature, de problèmes philosophiques ou de questions relatives au devenir social. Le colloque « Rousseau aujourd’hui », proposera aux chercheurs les deux orientations générales suivantes :  Rousseau homme de lettres Rousseau homme de lettres est l’un des plus grands musiciens de la langue française, dont il manie les mots avec une séduction incomparable. Julie ou la Nouvelle Héloïse, roman épistolaire d’une richesse polyphonique inégalée, connaît un immense succès du vivant de l’auteur et bouleverse le climat moral de son époque, non seulement en France, mais dans toute l’Europe et jusqu’en Amérique : chaque individu, quelles que soient ses convictions religieuses, sa condition sociale, ses expériences ou son sexe, est capable de s’élever au plus haut niveau de l’humanité… Dans la deuxième partie de son oeuvre, publiée après sa mort, Rousseau renouvelle avec un prodigieux don narratif, le genre autobiographique dans les Confessions, dont la franchise et parfois la crudité n’empêchent pas l’humour. Enfin, il invente le poème en prose avec les Rêveries du promeneur solitaire. La Nouvelle Héloïse, les Confessions et les Rêveries ont une descendance littéraire incomparable; ces oeuvres  ont été imitées, contrées, prolongées par les plus grands écrivains. Rousseau pédagogue, philosophe et citoyen Il serait difficile de séparer le Rousseau pédagogue du Rousseau philosophe et citoyen. Sa pensée est tout entière une anthropologie qui vise à retrouver l’homme de la nature dans l’homme de la culture. Lessing l’a appelé le « restaurateur de l’humanité » et Kant le «Newton de l’âme humaine». Il est à la fois le fondateur des sciences de l’homme, le « Copernic de l’éducation », comme l’appelle Claparède,  et le théoricien de la souveraineté populaire. Il s’agit d’une démarche d’ensemble.  Il met pour la première fois l’enfant au centre du processus éducatif, non comme un petit homme à développer, mais  comme une personnalité à part entière, qu’il faut accompagner dans son évolution naturelle. Son Emile n’est pas un guide pratique d’éducation mais une méditation sur ce qu’est un homme libre. De même le Contrat Social n’est pas un manuel de  démocratie, mais une réflexion sur la nature de l’institution politique légitime. Comme l’a très bien dit Léo Strauss, Rousseau montre « le problème de l’homme en société dans toute sa diversité, avec plus de profondeur et de largeur d’esprit que n’importe lequel de ses successeurs. » Le colloque fournira l’occasion de développer les problématiques rousseauistes en les articulant aux préoccupations régionales et plus particulièrement iraniennes ; une manière d’évaluer ou de réévaluer la pertinence, la portée et l’impact de concepts et de valeurs réputés universels. Les propositions de communications (résumé d’une dizaine de lignes, nom et affiliation scientifique du contributeur) sont à envoyer au plus tard le 7 avril 2012 à Jaleh Kahnemouinepour : rousseau2012@ut.ac.ir Agenda Date limite pour la réception des propositions de contributions : 7 avril 2012. Réponse  aux contributeurs : fin- avril 2012 Ouverture des inscriptions: 15 mai 2012 Mise en ligne du programme provisoire: fin juin 2012 Lieu du colloque: Téhéran, Faculté des langues et littératures étrangères, Université de Téhéran Contact: rousseau2012@ut.ac.ir Comités Scientifiques: Responsables: J. Kahnemouinepour (U. Téhéran), N. Shahverdiani, (U. Téhéran) Volet « Rousseau homme de lettres » : F. Alavi (U. Téhéran), Ch. Balaÿ (Inalco, Paris), D. Carnoy-Torabi (U. Shahid Beheshti), E. Esfandi (U. Téhéran), N. Khattate (U. Shahid Beheshti), J.- Y. Ouallet (U. Lille 3), Ch. Raguet-Bouvart (U. Paris 3) M. Sadrzadeh (U. Téhéran). Volet « Rousseau pédagogue, philosophe et citoyen » : H. Ayoubi (U. Téhéran), D. Bertrand (U. Paris 8), G. Chenevière, R. Hosseini (U. Téhéran), N. Fakouhi (U. Téhéran),  T. L’Aminot (U. Paris 4), J. Rafifar (U. Téhéran), S. Shahshahani (U. Shahid Beheshti), H.-R. Shaïri (U. Tarbiat Moallem). Responsable : Faculté des Langues et Littératures étrangères de l'Université de Téhéran en collaboration avec Association Iranienne de Langue et Littérature Françaises (AILLF) Url de référence : http://aillf.com/colloque-rousseau-aujourdhui/
Courriel du contact: 
rousseau2012@ut.ac.ir
Suggéré par: 
Nancy Murzilli
Courriel: 
nancymurzilli@gmail.com
Date de début ou date limite de l'événement: 
07/04/2012
Ville de l'événement: 
Téhéran (Iran)
Type d'événement: 
Appels à contribution
Catégorie principale: 
Sous-catégorie: 
Mots-clés: 
Jean-Jacques Rousseau

Espaces et quête identitaire dans le roman français actuel

Résumé de l'annonce (2 lignes maximum): 
Appel à contribution du Centre d’Étude du Roman Français Actuel (CERFA) qui organisera samedi 28 avril 2012, au Département de Français de la Faculté des Lettres de l’Université Babeş-Bolyai de Cluj-Napoca, Roumanie, une Journée d’Études doctorales sous le titre « Espaces et quête identitaire dans le roman français actuel ».
Le titre et le résumé (10-15 lignes) devront être envoyés aux deux adresses des organisatrices jusqu’au 15 mars 2012. Veuillez y ajouter aussi une notice bio-bibliographique de maximum 15 lignes. La présentation orale ne doit pas dépasser 15 minutes et elle sera suivie par des discussions. L’article ne doit pas dépasser 12 pages (25.000 caractères, y compris les espaces et les notes), et il doit être envoyé par mail aux organisatrices jusqu’au 30 mai 2012. La parution du volume, qui recueillera un choix de ces articles, est projetée pour la fin de l’année 2012. Les participants qui, pour des raisons objectives, ne pourront pas être présents pour soutenir leur communication, auront la possibilité d’envoyer (par mail) leur article au comité scientifique qui réalisera le choix des articles qui seront publiés en volume. Département de référence : Département de Langue et Littérature romanes Université Babeş-Bolyai, Faculté des Lettres, 31 rue Horea, 400202, Cluj-Napoca, Roumanie. Organisatrices : yvonne_goga@yahoo.fr simonajisa@yahoo.fr Responsable : Yvonne Goga et Simona Jisa Url de référence : http://cerfa.110mb.com Adresse : Faculté des Lettres, 31 rue Horea, 400202, Cluj-Napoca, Roumanie
Nom du contact: 
Yvonne Goga
Courriel du contact: 
yvonne_goga@yahoo.fr
Adresse postale: 
Faculté des Lettres, 31 rue Horea, 400202, Cluj-Napoca, Roumanie
Suggéré par: 
Nancy Murzilli
Courriel: 
nancymurzilli@gmail.com
Date de début ou date limite de l'événement: 
15/03/2012
Ville de l'événement: 
Cluj-Napoca (Roumanie)
Type d'événement: 
Appels à contribution
Catégorie principale: 
Sous-catégorie: 
Mots-clés: 
CERFA, Université Babeş-Bolyai, Cluj-Napoca, roman français
Site web de référence: 

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