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XVIIe siècle

Letteratura Ragione Represso

L'eredità critica di Francesco Orlando

Résumé de l'annonce (2 lignes maximum): 
Convegno internazionale dedicato all'eredità intellettuale di Francesco Orlando (1934-2010) come teorico, metodologo e critico della letteratura e dei fenomeni letterari nel linguaggio umano.
ORGANIZZATO DA: Stefano Brugnolo, Francesco Fiorentino, Gianni Iotti, Luciano Pellegrini, Sergio Zatti PISA, 6-8 MAGGIO 2021 SU MI C R O S O F T TE A M S: iscriversi a convegnorlando2021@gmail.com E S U YO U T U B E : SE MI N A R I O D'IN T E R P R E TA Z I O N E TE S T U A L E - MI M E S I S – YO UTU B E GIOVEDÌ 6 MAGGIO, ORE 9:00 Saluti e apertura dei lavori: Alessandra Lischi DELEGATA DEL RETTORE DELL’UNIVERSITÀ DI PISA PER LA COMUNICAZIONE E LA DIFFUSIONE DELLA CULTURA Roberta Ferrari DIRETTRICE DEL DIPARTIMENTO DI FILOLOGIA, LETTERATURA, LINGUISTICA Gianpiero Rosati PRESIDE DELLA CLASSE DI LETTERE DELLA SCUOLA NORMALE SUPERIORE DI PISA Presiede e introduce: Paolo Tortonese UNIVERSITÉ SORBONNE NOUVELLE - PARIS 3 Relazioni: Alfredo Stussi SCUOLA NORMALE SUPERIORE DI PISA - EMERITO, Francesco a Pisa negli anni della Normale Raffaele Donnarumma UNIVERSITÀ DI PISA, La formazione di compromesso. Sull'estetica di Francesco Orlando Aurélie Gendrat SORBONNE UNIVERSITÉ, La ricezione di Francesco Orlando in Francia: un tentativo di chiffonnage GIOVEDÌ 6 MAGGIO, ORE 15:00 Presiede e introduce: Mariolina Bertini UNIVERSITÀ DI PARMA Relazioni: Federico Corradi UNIVERSITÀ DI NAPOLI “L'ORIENTALE”, Francesco Orlando e il Barocco. Tra Rousset e Matte Blanco Francesco Pigozzo UNIVERSITÀ ECAMPUS, La letterarietà dei discorsi fattuali: il caso delle memorie personali Iacopo Leoni UNIVERSITÀ DI NAPOLI “L'ORIENTALE”, Referenti, codici e ritorno del represso nel romanzo francese tra le due guerre VENERDÌ 7 MAGGIO, ORE 9:00 Presiede e introduce: Guido Mazzoni UNIVERSITÀ DI SIENA Relazioni: Walter Siti SCRITTORE, Come si digerisce un maestro fuori moda Fabien Vitali CHRISTIAN-ALBRECHTS-UNIVERSITÄT ZU KIEL, La doppia scommessa. Per e malgrado Lampedusa Christian Rivoletti FAU ERLANGEN-NÜRNBERG, Costanti testuali, espansione di senso e rappresentazione della realtà Carlo Ginzburg SCUOLA NORMALE SUPERIORE - EMERITO, Pascal “al servizio dell'irreligione” VENERDÌ 7 MAGGIO, ORE 15:00 Presiede e introduce: Carla Benedetti UNIVERSITÀ DI PISA Relazioni: Alessandra Ginzburg PSICOANALISTA, Francesco Orlando dalla repressione all'inconscio non rimosso di Matte Blanco David Quint YALE UNIVERSITY, The Belatedness of the Thought of Francesco Orlando Valentino Baldi UNIVERSITÀ PER STRANIERI DI SIENA, L'identificazione emotiva Valentina Sturli SORBONNE UNIVERSITÉ, Le figure dell'invenzione: una ricerca incompiuta di Francesco Orlando SABATO 8 MAGGIO, ORE 9:00 Presiede e introduce: Massimo Fusillo UNIVERSITÀ DELL'AQUILA Relazioni: Guido Paduano UNIVERSITÀ DI PISA, Francesco Orlando e la drammaturgia musicale Cristina Savettieri UNIVERSITÀ DI PISA, Storicità ed epoche nell'opera di Francesco Orlando Luca Danti UNIVERSITÀ DI PISA, Le figure del ciarlatano: una ricerca potenziale di Francesco Orlando Romano Luperini UNIVERSITÀ DI SIENA, Qualche considerazione conclusiva https://www.youtube.com/channel/UC2QiH2K5A0DPOnNJC-tumlw Microsoft Teams iscrivendosi a convegnorlando2021@gmail.com
Nom du contact: 
Luciano Pellegrini
Courriel du contact: 
convegnorlando2021@gmail.com
Suggéré par: 
Francesco Pigozzo
Courriel: 
francesco.pigozzo@uniecampus.it
Date de début ou date limite de l'événement: 
06/05/2021
Date de fin de l'événement: 
08/05/2021
Ville de l'événement: 
Pisa /online
Type d'événement: 
Colloques
Catégorie principale: 
Mots-clés: 
Orlando, Letteratura, Teoria della letteratura, Ragione, Represso, Formazione di Compromesso, Logica simmetrica
Site web de référence: 

“Les deux Baptiste” Molière et Lulli/Lully

pour les 400 ans de la naissance du dramaturge français et les 390 ans de celle du musicien florentin

Résumé de l'annonce (2 lignes maximum): 
Colloque international, novembre 2022
“Les deux Baptiste” Molière et Lulli/Lully pour les 400 ans de la naissance du dramaturge français et les 390 ans de celle du musicien florentin Colloque international lundi 29 novembre 2022 et jours suivants (Le colloque se déroulera soit en présentiel soit à distance selon l'évolution de la pandémie de Covid-19) Jean-Baptiste Poquelin/Molière naît en 1622 Jean-Baptiste Lulli/Lully était né dix ans auparavant, le lundi 29 novembre 1632 (Levi-Malvano) En 1909, depuis l'Institut Français de la place Ognissanti, le professeur Levi-Malvano de l'Office d’Informations et d’Echanges communique à Henry Prunières qu'il a découvert la date de naissance de Jean-Baptiste Lulli. Prunières était en train de travailler au volume L’Opéra italien avant Lully et dans le cadre de ses études, il avait demandé à ce Service de chercher pour lui dans les Archives florentines des documents concernant l'état civil du musicien du Roi Soleil. En 1632, la famille Lulli habite entre Santa Maria sul Prato et San Salvatore in Ognissanti, près du Palazzo Lenzi, bâtiment du XVIème siècle, siège actuel de l’Institut Français de Florence. A l'occasion des 400 ans de la naissance de Jean-Baptiste Poquelin/Molière et des 390 ans de la naissance de Lulli/Lully, ce Colloque veut tout d’abord rendre hommage à la découverte de cet acte de naissance dans le contexte de la mission culturelle de l'Institut Français de Florence/IFF ; découverte qui, à cette hauteur chronologique est, d'un côté, à l'origine de la Section musicale de l'IFF voulue par son fondateur et premier directeur, Julien Luchaire, et dirigée par Romain Rolland et Paul-Marie Masson et, de l'autre, à la base des événements historico-biographiques qui amèneront à la future collaboration entre “les deux Baptiste” en France au cours du XVIIème siècle. Le XXème siècle s'ouvre à Florence par l'Académie musicale en l'honneur de Lulli/Lully organisée au Conservatoire Cherubini par Riccardo Gandolfi en 1902. C'est à Lulli/Lully que Romain Rolland, directeur depuis Paris de la Section musicale de l'IFF, consacre en ce début de siècle de célèbres pages, à l'instar de Prunières aussi, dont les textes fondateurs sur le compositeur florentin -dans le cadre plus vaste de l'œuvre musicale- se répartissent surtout entre les années 1910 et 1920. Ils atteignent leur apogée pendant les années 1930 qui voient la publication des œuvres complètes du compositeur du XVIIème siècle. Les ouvrages rédigés entre les années 1910 et 1920 abordent Lully/Lulli d'un point de vue aussi bien biographique qu'artistique. Un regain d'intérêt général pour Lully/Lulli se produit notamment autour des années 1990, période au cours de laquelle les études et les recherches concernent d'une part les rapports entre Lully/Lulli et le pouvoir (Ph. Beaussant, Lully ou le musicien du soleil), de l'autre la mise au point documentaire, basée sur des archives, de la vie et des œuvres du compositeur (on peut penser, dans cette perspective critique et documentaire, aux écrits fondamentaux de Jérôme de La Gorce: ses études biographiques sur le musicien peuvent se situer dans le sillage de la “biographie critique” inaugurée par Prunières en personne comme contrepoids à une biographie tentée par le mythique et la fiction; il en avait été ainsi au fond pour Prunières lui-même: La vie illustre et libertine de J.-B Lully, et il en sera de même ensuite - en 2002 - pour Vincent Borel avec le roman Baptiste). Des études essentielles à partir de la seconde moitié du XXème siècle (La Gorce, Mazouer, Forestier) et des représentations tout aussi majeures (Mnouchkine, Lazar/Roussat/Dumestre) ont mis en lumière la collaboration et/ou l'affrontement (“le duo infernal” selon V. Borel) entre les deux artistes du point de vue aussi bien historico-biographique que dramaturgique. Bien des décennies plus tard, ce Colloque entend réexaminer les rapports, encore largement discutés, entre “les deux Baptiste” au niveau historico-biographique et dramaturgique. A partir d’une telle focalisation quelques pistes de recherche s’avèrent possibles: - Molière-Lully/Lulli: collaboration et/ou rivalité - Postérité des œuvres de Molière-Lully/Lulli - Molière-Lully/Lulli et la représentation (la parole dite, la parole chantée, la danse) - Molière-Lully/Lulli acteurs au Théâtre (parlé et/ou chanté) et au Cinéma - Les traductions italiennes des pièces écrites en collaboration entre les deux artistes: écriture, représentation et mise en scène - Molière/Lully sur les scènes italiennes - Le formes de diffusion des œuvres de Molière-Lully/Lulli en dehors du contexte théâtral - Molière-Lully/Lulli: les deux auteurs et leurs œuvres comme instruments de diplomatie culturelle - Adaptations théâtrales et musicales des œuvres de Molière-Lully/Lulli - Molière-Lully/Lulli: vie publique et privée dans l'écriture biographique et fictionnelle - Molière-Lully/Lulli et l'allégorie du baroque - Molière-Lully/Lulli et l'orientalisme en musique - Les grands interprètes des pièces de Molière et Lully: comédiens et metteurs en scène - Molière/Lully et le théâtre contemporain Ce Colloque est organisé par le Département de Lettres et de Philosophie/DILEF de l'Université de Florence, en collaboration avec le Département d'Histoire, d'Archéologie, de Géographie, d’Art et de Spectacle/SAGAS de l'Université de Florence, l'Institut Français Firenze, le Conservatoire Luigi Cherubini, et l'Association des Amis de l'Institut Français de Florence. Comité scientifique: Georges Forestier (Université de la Sorbonne), Jérôme de La Gorce (Université de la Sorbonne/CNRS), Marco Lombardi (Université de Florence), Barbara Innocenti (Université de Florence), Michela Landi (Université de Florence),Renzo Guardenti (Université de Florence), Manon Hansemann (Institut français de Florence), Caterina Pagnini (Université de Florence), Guglielmo Pianigiani (Conservatoire Luigi Cherubini de Florence), Paolo Zampini (Conservatoire Luigi Cherubini de Florence). Les propositions de communication d’environ 300 mots seront accompagnées par une brève présentation du proposant et seront envoyées avant le 30 décembre 2021 aux adresses suivantes : marco.lombardi@unifi.it; barbara.innocenti@unifi.it “i due Baptiste” Molière e Lulli/Lully nei 400 anni dalla nascita del drammaturgo francese e nei 390 dalla nascita del musicista fiorentino Convegno Internazionale da lunedì 29 novembre 2022 (Il Convegno si svolgerà in presenza o a distanza a seconda della situazione determinata dal Covid/19) Jean-Baptiste Poquelin/Molière nasce nel 1622 Giovanni Battista Lulli era nato dieci anni prima, il lunedì 29 novembre 1632 (Levi-Malvano) Nel 1909, dall’Istituto Francese di piazza Ognissanti, il professor Levi-Malvano dell’Office d’Informations et d’Echanges comunica a Henry Prunières il reperimento dell’atto di nascita di Giovan Battista Lulli. Prunières stava lavorando al volume L’Opéra italien avant Lully e in quel contesto d’indagine aveva richiesto a quell’Ufficio di ricercare per lui negli Archivi fiorentini documenti anagrafici relativi al Musicista del Re Sole. Nel 1632, la Famiglia Lulli abita tra Santa Maria sul Prato e S. Salvatore in Ognissanti, vicino al quattrocentesco Palazzo Lenzi, sede dell’odierno Istituto Francese di Firenze. In concomitanza con i 400 anni dalla nascita di Jean-Baptiste Poquelin/Molière, e con i 390 anni dalla nascita di Lulli, il Convegno vuole innanzitutto rendere omaggio al reperimento di questo atto di nascita nell’ambito della missione culturale dell’Istituto Francese di Firenze/IFF, reperimento che a quell’altezza cronologica è, da un lato, all’origine della Sezione musicale dell’IFF voluta dal suo fondatore e primo direttore, Julien Luchaire, e diretta da Romain Rolland e Paul-Marie Masson, e, dall’altro lato, alla base degli eventi storico-biografici che porteranno alla futura collaborazione tra “les deux Baptiste” in terra di Francia nel corso del Seicento. Nel ‘900, il secolo si apre a Firenze con l’Accademia musicale in onore di Lulli organizzata al Conservatorio Cherubini da Riccardo Gandolfi nel 1902. A Lulli, Romain Rolland, direttore da Parigi della Sezione musicale dell’IFF, dedica in quell’inizio secolo famose pagine, così come Prunières, i cui testi fondatori sul compositore fiorentino - nel più vasto contesto dell’opera in musica - si distribuiscono soprattutto tra gli anni ‘10 e gli anni ’20 con l’apice raggiunto negli anni ’30 che vedono la pubblicazione delle opere complete del compositore seicentesco. I testi tra il ’10 e il ’20 del Novecento affrontano Lulli/Lully sia da un punto di vista biografico che artistico. Un ritorno generale d’interesse su Lulli/Lully si verifica in particolar modo intorno agli anni ’90 del Novecento. In quel periodo, gli studi e le ricerche sono rivolti da una parte alle relazione tra Lulli/Lully e il potere (Ph. Beaussant, Lully ou le musicien du soleil) dall’altra alla messa a punto documentaria, su basi archivistiche, della vita e delle opere del compositore (si pensi in questa prospettiva critico-documentaria agli scritti basilari di Jérôme de La Gorce: i suoi studi biografici sul musicista possono collocarsi nella scia della “biographie critique” inaugurata dallo stesso Prunières come contraltare a una biografia tentata dal mitico e dal romanzesco (così come in fondo lo era stato per il medesimo Prunières: La vie illustre et libertine de J.-B Lully, e come lo sarà successivamente - nel 2002 - per Vincent Borel con il romanzo Baptiste). Studi epocali dal secondo Novecento al Duemila (La Gorce, Mazouer, Forestier) e performance altrettanto fondamentali (Mnouschkine, Lazar/Roussat/Dumestre) hanno messo in luce la collaborazione e/o lo scontro (“le duo infernal” di cui scrive V. Borel) fra i due artisti sia dal punto di vista storico-biografico sia dal punto di vista drammaturgico. A distanza di molti se non di alcuni decenni, il Convegno intende riprendere in esame l’ancora ampiamente discussa relazione tra “les deux Baptiste” a livello storico-biografico e drammaturgico. Da questo nucleo investigativo si dipartono alcune tracce di ricerca quali: - Molière-Lulli: collaborazione e/o rivalità - Posterità delle opere di Molière-Lulli - Molière-Lulli e la performance (la parola detta, la parola cantata, la danza) - Molière-Lulli protagonisti a Teatro (parlato e/o cantato) e al Cinema - Le traduzioni italiane delle pièce scritte in collaborazione tra i due artisti: scrittura, rappresentazione e messa in scena - Molière e Lulli sulle scene italiane - Modi di diffusione delle opere di Molière-Lulli al di fuori del contesto teatrale - Molière-Lulli: i due autori e le loro opere come strumenti di diplomazia culturale - Adattamenti teatrali e musicali delle opere di Molière-Lulli - Molière-Lulli: vita pubblica e privata nella scrittura biografica e romanzesca - Molière-Lulli e l’allegoria del barocco - Molière-Lulli e l’orientalismo in musica - I grandi interpreti delle pièce di Molière-Lulli - Molière-Lulli e il teatro contemporaneo Il Convegno è organizzato dal Dipartimento di Lettere e Filosofia/DILEF dell’Università di Firenze in collaborazione con il Dipartimento Storia Archeologia Geografia Arte Spettacolo/SAGAS dell’Università di Firenze, l’Istituto Francese di Firenze, il Conservatorio Luigi Cherubini, l’Associazione degli Amici dell’Istituto Francese di Firenze. Comitato scientifico: Georges Forestier (Sorbonne Université), Jérôme de La Gorce (Sorbonne Université/CNRS ), Marco Lombardi (Università di Firenze), Barbara Innocenti (Università di Firenze), Renzo Guardenti (Università di Firenze), Manon Hansemann (Institut français Firenze), Michela Landi (Università di Firenze), Caterina Pagnini (Università di Firenze), Guglielmo Pianigiani (Conservatorio Luigi Cherubini Firenze), Paolo Zampini (Conservatorio Luigi Cherubini Firenze). Le proposte di intervento, di circa 300 parole, dovranno essere accompagnate da un breve CV del proponente e inviate congiuntamente prima del 30 dicembre 2021 ai seguenti indirizzi: marco.lombardi@unifi.it; barbara.innocenti@unifi.it
Nom du contact: 
Barbara Innocenti
Courriel du contact: 
barbara.innocenti@unifi.it
Adresse postale: 
via della Pergola 58/60 Firenze
Suggéré par: 
Barbara Innocenti
Courriel: 
barbara.innocenti@unifi.it
Date de début ou date limite de l'événement: 
30/12/2021
Ville de l'événement: 
Firenze
Type d'événement: 
Appels à contribution
Catégorie principale: 
Sous-catégorie: 
Mots-clés: 
Molière; Lully; teatro francese; musica;

L'héritage de Molière

Réécritures, traductions et représentations du Grand Siècle à l'âge contemporain

Résumé de l'annonce (2 lignes maximum): 
Colloque 6-7 mai 2022 , Università degli Studi di Torino
L’héritage de Molière: réécritures, traductions et représentations du Grand Siècle à l’âge contemporain. 6-7 mai 2022 , Università degli Studi di Torino, Dipartimento di Lingue e Letterature straniere e Culture moderne. Appel à communication. Pour célébrer le quatrième centenaire de la naissance de Molière, ce colloque se propose de présenter son héritage et sa fortune dans plusieurs pays et cultures de réception, à travers les traductions, réécritures, adaptations et mises en scène de son œuvre, depuis l’âge moderne jusqu’à la contemporanéité, dans les pays européens (Italie, Espagne, Allemagne, Royaume-Uni, Portugal, Russie) et extra-européens (Etats-Unis, Chine, Japon). De nombreuses initiatives destinées à célébrer le quatrième centenaire de la naissance de Molière sont prévues en 2022 : les Universités et les théâtres à une échelle internationale se préparent à rendre hommage au dramaturge français le plus représenté, lu et traduit dans le monde entier. Parmi les raisons d’un tel succès, notamment, la complexité de son œuvre: Molière est un homme de théâtre capable de récupérer les legs du passé, tout en les innovant ; un dramaturge dont l’écriture réfléchit son identité prismatique, révélant à la fois le moraliste, le libertin, le comédien, l’esprit mélancolique. Il s’agit d’un artiste capable de dialoguer avec le pouvoir, mais aussi de se heurter avec la censure ; d’un écrivain sachant mêler plusieurs registres pour s’adresser à un public hétérogène. Ces différentes facettes ont été relevées depuis longtemps par la critique qui, suivant les époques et les espaces géographiques, en a souligné toute la richesse : l’herméneutique des textes moliéresques permet de découvrir les enjeux des horizons de réception. C’est surtout la théâtralité de son œuvre que la critique contemporaine a visé, pour déceler les conditions matérielles de ses créations et des mises en scène de ses pièces, ainsi que les relations avec ses acteurs et actrices, ainsi que les stratégies d’organisation liées aux nécessités économiques de sa troupe. Prenant appui sur les acquis critiques contemporains, ce colloque se propose de présenter l’héritage de Molière, sa fortune dans plusieurs pays et cultures de réception, à travers les traductions, réécritures, adaptations et mises en scène de son œuvre. Nous voudrions poser notre attention sur l’héritage de Molière depuis l’âge moderne jusqu’à la contemporanéité, dans les pays européens (Italie, Espagne, Allemagne, Royaume-Uni, Portugal, Russie) et extra-européens (Etats-Unis, Chine, Japon). Un deuxième volet du colloque sera consacré à l’espace culturel franco-italien, étant donné la tradition des études françaises de l’Université de Torino, depuis longtemps orientée dans cette direction. Nous envisageons des communications visant à relever les échos et les passages intersémiotiques entre l’œuvre moliéresque et d’autre genres littéraires, ou différentes formes théâtrales et artistiques ; ou portant sur la contemporanéité de Molière, sur les scènes et dans les institutions scolaires et académiques dans l’espace franco-italien actuel. Dans cette perspective, les propositions d’intervention pourront s’inscrire dans les axes de réflexion suivantes : -Réception dans la dramaturgie italienne, européenne et extra-européenne du Grand Siècle au XX siècle. Dès sa parution, le théâtre de Molière est considéré en Italie comme un modèle du point de vue dramaturgique et théâtral. Parcourir sa réception dans un horizon plus vaste nous permettra de saisir historiquement la portée de son influence à ces deux niveaux. - Reprise et resémantisation des pièces en France et en Italie dans d’autres genres littéraires et artistiques. Le phénomène de la migration de ses hypotextes théâtraux, grâce à la pratique citationnelle, au passage d’un genre littéraire à l’autre ou à la traduction intersémiotique, mérite notre attention pour évaluer la capacité de ce corpus de générer de nouveaux horizons sémantiques, suivant les époques de réception. - Les mises en scène dans les théâtres français et italiens au XXIe siècle. Pour ce volet, une collaboration avec le Teatro Stabile de Torino est prévue. - Enseigner Molière aujourd’hui à l’école secondaire et à l’Université. Expériences et réflexions sur la pédagogie et les instruments didactiques contemporains. Une table ronde est prévue, consacrée aux enseignants. Les langues du colloque sont l’italien, le français et l’anglais. Pour consentir la discussion après chaque séance, le temps de parole est limité à 20 minutes. Les communications seront soumises à la peer review avant d’être publiées dans la revue «Studi Francesi». Les propositions de communication d’environ 300 mots seront accompagnées par une brève présentation du proposant et seront envoyées avant le 30 juin 2021 aux adresses suivantes : monica.pavesio@unito.it; laura.rescia@unito.it Comité d’organisation : Monica Pavesio, Laura Rescia, Virginia Melotto. Comité scientifique : Luca Badini Confalonieri (Università di Torino); Paolo Bertinetti (Università di Torino); Gabriella Bosco (Università di Torino); Claude Bourqui (Université de Fribourg); Daniela Dalla Valle (Università di Torino); Alessandro Fambrini (Università di Pisa); Georges Forestier (Sorbonne Université); Luciana Gentilli (Università di Macerata); Charles Mazouer (Université Michel de Montaigne-Bordeaux 3); Monica Pavesio (Università di Torino); Laura Rescia (Università di Torino).
Nom du contact: 
Laura Rescia
Courriel du contact: 
laura.rescia@unito.it
Suggéré par: 
Laura Rescia
Courriel: 
laura.rescia@unito.it
Date de début ou date limite de l'événement: 
30/06/2021
Date de fin de l'événement: 
30/06/2021
Ville de l'événement: 
Torino
Type d'événement: 
Appels à contribution
Catégorie principale: 
Sous-catégorie: 
Mots-clés: 
storia del teatro; traduzione; ricezione del testo teatrale; Molière
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Panser et repenser l'œuvre : le concept de restauration

Résumé de l'annonce (2 lignes maximum): 
Journée d'étude Lettres / Histoire
Les interventions de cette journée d’étude se centrent sur le concept, fort sémantiquement, de restauration d’une œuvre perdue. Cette dernière est à entendre en tant qu’œuvre altérée ou ruinée, à savoir toute œuvre historique ou littéraire ayant subi les sévices du temps et/ou de l’homme. Ces œuvres en perdition impliquent une redécouverte, une métamorphose, voire un total renouveau, en définitive, que l’œuvre perdue ait été pansée au sens presque médical, à savoir réparée, rétablie ou repensée. Il s’agit ici de réévaluer ces œuvres à leur juste place et de les penser comme un terrain propice à la sauvegarde du patrimoine culturel et historique. Sous une double approche, historique et littéraire, les questionnements suivants seront abordés : Comment et pourquoi faire revivre un modèle perdu ? Comment une œuvre est-elle perçue quand elle est réintégrée dans son flux historique ? Qu’apprenons-nous sur la période historique considérée ? Convient-il de reconstituer pour mieux reconstruire ou pour mieux préserver ? Comment la nouvelle œuvre est-elle appréhendée lorsque nous sommes encore en possession de l’œuvre originale ? Comité scientifique Jean Devaux, Professeur à l’ULCO, Littérature française du Moyen Âge et de la Renaissance Xavier Escudero, Professeur à l’ULCO, Études hispaniques Jean-Louis Podvin, Professeur à l’ULCO, Histoire ancienne, Directeur de l’UR HLLI Comité organisateur Grace Baillet, Virginie Picot et Cécile Rault (doctorantes en Lettres et en Histoire à l'Université du Littoral Côte d'Opale) Programme 8h45 Accueil 9h00 Ouverture 9h00-10h05 – Session 1 9h15 Estelle Berlaire Gues (Université de Lille), Livie, la femina restitutor 9h35 Hugo Chatevaire (École des Pratique des Hautes Études en Sciences Sociales et Licia Buttà de l’Universitat Rovira i Virgili de Tarragone), Découverte et restauration des plafonds peints médiévaux à Barcelone : de la préservation à l’oubli historiographique et patrimonial 9h55 Discussion 10h05 Pause 10h35-11h25 – Session 2 10h35 Justine Gain (École du Louvre – EPHE – INHA), Histoires de restauration, l’œuvre polymorphe de Jean-Baptiste Plantar 10h55 Thomas Thisselin (Institut de recherche en musicologie – CNRS), La restauration des Tableaux d’une exposition orchestrés par Maurice Ravel 11h15 Discussion 11h25-12h15 – Session 3 11h25 Julien Lefebvre-Bier (Université de Picardie Jules Verne), Interpréter l’œuvre : réinscrire ou reconstruire ? La polémique entre Raymond Picard et Roland Barthes 11h45 Ariane Loraschi (Université de Strasbourg), Dario Fo et la réintroduction du Mystère médiéval. Mystère bouffe : restauration, réintégration, révolution ? 12h05 Discussion 12h15 Déjeuner 14h00-15h40 – Session 4 14h00 Bénédicte Chachuat (Université Toulouse Jean Jaurès), La place des conjectures dans l’édition de la Pharsale de Lucain : l’édition entre restauration et correction 14h20 Chiara Tavella (Università degli Studi di Torino / Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3), Restauration comme reconstruction : la tradition imprimée du Mystère de la Résurrection d’Arnoul Gréban à la lumière de sa tradition manuscrite 14h40 Marine Mazars (Université Toulouse Jean Jaurès), Du Tractatus de Purgatorio sancti Patricii à La fabuleuse aventure de Ramon de Perilhos, ou comment rester sous les feux de la rampe 15h00 Florentin Machut (Université de Lille), La tradition de la fin' amors dans la poésie médiévale castillane : vers la restauration d'un Âge d'or ? 15h20 Discussion 15h40 Pause 16h10-17h25 – Session 5 16h10 Mathilde Greuet, (Université de Lille), Repenser les bâtiments détruits par faits de guerre dans les Hauts-de-France au xxe siècle 16h30 Solène Scherer (Université Toulouse Jean Jaurès), Un pansement du présent sur une blessure du passé ? Insertion d’architectures contemporaines dans le bâti ancien détruit comme alternative à la restauration à l’identique 16h50 Cécile Rault (Université Littoral Côte d'Opale), La notion de résilience dans l’œuvre de la reconstruction, l’exemple portuaire de Dunkerque 17h10 Discussion 17h25 Arnaud Timbert (Professeur des universités en Histoire de l'art, Doyen de l’UFR Arts – Université de Picardie Jules Verne), Conclusions de la journée et ouverture 17h55 Clôture de la journée
Nom du contact: 
Grace Baillet
Courriel du contact: 
ulcogracebaillet@gmail.com
Adresse postale: 
34 Grande Rue 62200 Boulogne-sur-Mer
Suggéré par: 
Baillet Grace
Courriel: 
ulcogracebaillet@gmail.com
Date de début ou date limite de l'événement: 
07/04/2021
Ville de l'événement: 
Boulogne-sur-Mer
Type d'événement: 
Colloques
Catégorie principale: 
Mots-clés: 
restauration, panser, littérature, histoire, architecture, patrimoine

Regards croisés sur le Québec et la France

Résumé de l'annonce (2 lignes maximum): 
Convegno CISQ – Centro Interuniversitario di Studi Quebecchesi - Trento – 20-22 maggio 2021
Regards croisés sur le Québec et la France Dans les dix dernières années, le nombre de Français qui ont décidé de s’installer au Québec a augmenté de plus de 70% et depuis peu, le Plateau Mont-Royal, le quartier populaire rendu célèbre par Michel Tremblay dans ses Chroniques, est souvent désigné par les Montréalais comme la « Petite France » ou encore comme le quartier des « Maudits Français ». Cette présence importante de Français dans ce quartier de Montréal en agace plus d’un et réactive les sentiments d’amour et de haine qu’un grand nombre de Québécois nourrit envers la France et les Français depuis la fin de l’époque de la Nouvelle-France. Pour certains Québécois, en effet, c’est lors de la signature du « Traité de Paris » en 1763, où la France cède « les quelques arpents de neige » aux Anglais, comme le soulignait Voltaire, que « l’enfant » (le Canadien français) aurait tué « la mère » (la France) coupable de l’avoir abandonné à la merci des ennemis ancestraux. Le lien politique rompu depuis 1763 n’a fait qu’augmenter la distance entre les deux pays et les relations entre la France et le Canada français (et ensuite le Québec) ont été plus ou moins tendues et ont fait couler toujours beaucoup d’encre. Que l’on pense à la « Crise de la Conscription » de 1917 (et également à celle de 1944) et au refus d’un grand nombre de Canadiens-français de partir en Europe pour aider tout d’abord l’Angleterre, mais aussi la France alors en guerre contre l’Allemagne, une France envers laquelle ils n’avaient plus aucun devoir. Comme le soulignait Henri Bourassa lors d’un discours sur le patriotisme canadien-français, l’amour des Canadiens français pour la France « peut et doit être réel, profond et durable ; mais il doit rester platonique ; et surtout il ne doit jamais nous faire oublier […] les circonstances de notre histoire ». Que l’on pense également à la querelle éclatée en 1946 entre Robert Charbonneau et un petit groupe d’écrivains français (Mauriac, Aragon, Duhamel, Billy) sur l’autonomie de la littérature canadienne-française (La France et nous, 1993). Ou à la polémique éclatée il y a quelques années d’un côté et de l’autre de l’Atlantique à propos de la remarque que l’animateur de l’émission Tout le monde en parle, Thierry Ardisson, a fait au chanteur québécois Garou en lui posant une question importune sur sa manière de s’exprimer en français : « C’est ma première question, vous qui savez tout faire, chanter, danser, jouer la comédie, pourquoi vous n’arrêtez pas cet accent ? ». Ou encore, tout récemment, au travail de réédition en France du roman Querelle de Roberval du jeune auteur québécois Kevin Lambert et au polissage linguistique fait par l’éditeur français pour rendre le texte plus compréhensible aux lecteurs de l’Hexagone. Pour les Québécois, la France est aujourd’hui un pays géographiquement lointain et l’appartenance de plus en plus revendiquée à une réalité américaine a renversé selon certains le complexe d’infériorité que le Québec avait développé par rapport à l’ancienne « mère patrie ». Certes, pour ce qui est de la langue, c’est toujours la manière de parler français, et surtout l’accent, qui représentent encore le feu de la discorde avec la France. Quel est alors le regard que l’un, le Québec, porte sur l’autre, la France, et vice-versa ? Quelles sont les représentations culturelles des Français à l’égard du Québec et des Québécois à l’égard de la France ? Les propositions pourront s’inscrire dans les thématiques suivantes, qui ne constituent néanmoins pas une liste exhaustive des possibles : – Le Québec vu par les Français (littérature, cinéma, musique, politique, télévision, sketchs humoristiques, etc.). – La France vue par les Québécois (littérature, cinéma, musique, politique, télévision, sketchs humoristiques, etc.). – La Nouvelle-France vue par les Français aux XVIIe et XVIIIe siècles : relations de voyage, lettres, ouvrages, etc. – Les querelles littéraires entre Canadiens français et Français (La France et nous de Charbonneau, par exemple, etc.). – Le Général de Gaulle et le Québec. – La participation des Québécois aux Guerres mondiales. – Les écrivains québécois qui ont « longtemps » vécu (installés) et publié en France et les écrivains français qui ont « longtemps » vécu (installés) et publié au Québec. – La présence des Parisiens (ou des Français en général) sur le Plateau Mont-Royal. – Les éditions françaises de romans québécois (par exemple Ducharme, Bienvenu, Lambert, etc.). – Présence du Québec dans les médias français et de la France dans les médias québécois (presse écrite, radio, télévision, etc.). – Présence du Québec dans les dictionnaires français et de la France dans les dictionnaires québécois (écrivains, œuvres littéraires, personnalités du monde des arts et des sciences, etc.). – Présence des régionalismes québécois dans les dictionnaires français et des régionalismes français dans les dictionnaires québécois, mais aussi argot, verlan, etc. Les communications en français ne dépasseront pas une durée de 20 minutes, 5-10 minutes seront consacrées aux questions. La date limite pour envoyer les propositions de communication individuelle ou de session est le 15 janvier 2021. Les propositions de communication doivent être envoyées, accompagnées d’une courte note biobibliographique à l’adresse : cisq2021@gmail.com Calendrier : 15 janvier 2021 : date limite pour envoyer les propositions de communication. Février 2021 : notification d’acceptation (ou de non-acceptation). Avril 2021 : programme provisoire. Publication : La publication d’un choix de textes issus des communications est prévue au cours de l’année 2022. Frais d’inscription : 80 euros (accès à la/aux session/s, pauses café ; matériel du colloque ; publication des articles évalués positivement). Les frais d’inscription ne comprennent pas les frais de voyage, d’hôtel et de restaurant. Dîner de Gala : 21 mai 2020 à 20h00 (50 euros).
Nom du contact: 
Gerardo Acerenza
Courriel du contact: 
gerardo.acerenza@unitn.it
Adresse postale: 
Via Tommaso Gar, n. 14 - 38122 Trento
Suggéré par: 
Gerardo Acerenza
Courriel: 
gerardo.acerenza@unitn.it
Date de début ou date limite de l'événement: 
15/01/2021
Date de fin de l'événement: 
22/05/2021
Ville de l'événement: 
Trento
Type d'événement: 
Appels à contribution
Catégorie principale: 
Mots-clés: 
Québec - France

Claude de la Rose dit Rosimond, "Le Nouveau Festin de Pierre, ou l’Athée Foudroyé"

Contenu de l'annonce: 

Le Nouveau Festin de Pierre est la dernière pièce sur Dom Juan écrite en France au XVIIe siècle, après le chef-d’œuvre de Molière.
Bien que la comparaison avec le Festin de Molière l’ait toujours discrédité, le Nouveau Festin de Rosimond est une pièce remarquable. L’Auteur mélange...

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Catégorie principale: 
Sous-catégories: 
Suggéré par: 
Studi Francesi
Courriel: 
studi.francesi@rosenbergesellier.it
ISBN: 
9788878858091
Collection: 
Biblioteca di Studi francesi
Anonyme
Éditeur: 
Rosenberg & Sellier
Lieu de parution: 
Torino
Date de parution: 
Mardi, Décembre 15, 2020
Date de mise en ligne: 
Dimanche, Décembre 27, 2020
URL: 
http://www.rosenbergesellier.it/scheda-libro?aaref=1418
Langue: 
francese
Site web de référence: 
http://www.rosenbergesellier.it/scheda-libro?aaref=1418

Regards croisés sur le Québec et la France

Résumé de l'annonce (2 lignes maximum): 
Colloque CISQ - Centro Interuniversitario Studi Quebecchesi 2021
Convegno CISQ – Centro Interuniversitario di Studi Quebecchesi Università degli Studi di Trento – Dipartimento di Lettere e Filosofia Trento – 20-22 maggio 2021 Regards croisés sur le Québec et la France Dans les dix dernières années, le nombre de Français qui ont décidé de s’installer au Québec a augmenté de plus de 70% et depuis peu, le Plateau Mont-Royal, le quartier populaire rendu célèbre par Michel Tremblay dans ses Chroniques, est souvent désigné par les Montréalais comme la « Petite France » ou encore comme le quartier des « Maudits Français ». Cette présence importante de Français dans ce quartier de Montréal en agace plus d’un et réactive les sentiments d’amour et de haine qu’un grand nombre de Québécois nourrit envers la France et les Français depuis la fin de l’époque de la Nouvelle-France. Pour certains Québécois, en effet, c’est lors de la signature du « Traité de Paris » en 1763, où la France cède « les quelques arpents de neige » aux Anglais, comme le soulignait Voltaire, que « l’enfant » (le Canadien français) aurait tué « la mère » (la France) coupable de l’avoir abandonné à la merci des ennemis ancestraux. Le lien politique rompu depuis 1763 n’a fait qu’augmenter la distance entre les deux pays et les relations entre la France et le Canada français (et ensuite le Québec) ont été plus ou moins tendues et ont fait couler toujours beaucoup d’encre. Que l’on pense à la « Crise de la Conscription » de 1917 (et également à celle de 1944) et au refus d’un grand nombre de Canadiens-français de partir en Europe pour aider tout d’abord l’Angleterre, mais aussi la France alors en guerre contre l’Allemagne, une France envers laquelle ils n’avaient plus aucun devoir. Comme le soulignait Henri Bourassa lors d’un discours sur le patriotisme canadien-français, l’amour des Canadiens français pour la France « peut et doit être réel, profond et durable ; mais il doit rester platonique ; et surtout il ne doit jamais nous faire oublier […] les circonstances de notre histoire ». Que l’on pense également à la querelle éclatée en 1946 entre Robert Charbonneau et un petit groupe d’écrivains français (Mauriac, Aragon, Duhamel, Billy) sur l’autonomie de la littérature canadienne-française (La France et nous, 1993). Ou à la polémique éclatée il y a quelques années d’un côté et de l’autre de l’Atlantique à propos de la remarque que l’animateur de l’émission Tout le monde en parle, Thierry Ardisson, a fait au chanteur québécois Garou en lui posant une question importune sur sa manière de s’exprimer en français : « C’est ma première question, vous qui savez tout faire, chanter, danser, jouer la comédie, pourquoi vous n’arrêtez pas cet accent ? ». Ou encore, tout récemment, au travail de réédition en France du roman Querelle de Roberval du jeune auteur québécois Kevin Lambert et au polissage linguistique fait par l’éditeur français pour rendre le texte plus compréhensible aux lecteurs de l’Hexagone. Pour les Québécois, la France est aujourd’hui un pays géographiquement lointain et l’appartenance de plus en plus revendiquée à une réalité américaine a renversé selon certains le complexe d’infériorité que le Québec avait développé par rapport à l’ancienne « mère patrie ». Certes, pour ce qui est de la langue, c’est toujours la manière de parler français, et surtout l’accent, qui représentent encore le feu de la discorde avec la France. Quel est alors le regard que l’un, le Québec, porte sur l’autre, la France, et vice-versa ? Quelles sont les représentations culturelles des Français à l’égard du Québec et des Québécois à l’égard de la France ? Les propositions pourront s’inscrire dans les thématiques suivantes, qui ne constituent néanmoins pas une liste exhaustive des possibles : – Le Québec vu par les Français (littérature, cinéma, musique, politique, télévision, sketchs humoristiques, etc.). – La France vue par les Québécois (littérature, cinéma, musique, politique, télévision, sketchs humoristiques, etc.). – La Nouvelle-France vue par les Français aux XVIIe et XVIIIe siècles : relations de voyage, lettres, ouvrages, etc. – Les querelles littéraires entre Canadiens français et Français (La France et nous de Charbonneau, par exemple, etc.). – Le Général de Gaulle et le Québec. – La participation des Québécois aux Guerres mondiales. – Les écrivains québécois qui ont « longtemps » vécu (installés) et publié en France et les écrivains français qui ont « longtemps » vécu (installés) et publié au Québec. – La présence des Parisiens (ou des Français en général) sur le Plateau Mont-Royal. – Les éditions françaises de romans québécois (par exemple Ducharme, Bienvenu, Lambert, etc.). – Présence du Québec dans les médias français et de la France dans les médias québécois (presse écrite, radio, télévision, etc.). – Présence du Québec dans les dictionnaires français et de la France dans les dictionnaires québécois (écrivains, œuvres littéraires, personnalités du monde des arts et des sciences, etc.). – Présence des régionalismes québécois dans les dictionnaires français et des régionalismes français dans les dictionnaires québécois, mais aussi argot, verlan, etc. Les communications en français ne dépasseront pas une durée de 20 minutes, 5-10 minutes seront consacrées aux questions. La date limite pour envoyer les propositions de communication individuelle ou de session est le 15 janvier 2021. Les propositions de communication doivent être envoyées, accompagnées d’une courte note biobibliographique à l’adresse : cisq2021@gmail.com Calendrier : 15 janvier 2021 : date limite pour envoyer les propositions de communication. Février 2021 : notification d’acceptation (ou de non-acceptation). Avril 2021 : programme provisoire. Publication : La publication d’un choix de textes issus des communications est prévue au cours de l’année 2022. Frais d’inscription : 80 euros (accès à la/aux session/s, pauses café ; matériel du colloque ; publication des articles évalués positivement). Les frais d’inscription ne comprennent pas les frais de voyage, d’hôtel et de restaurant. Dîner de Gala : 21 mai 2020 à 20h00 (50 euros). Comité scientifique : Gerardo Acerenza (Université de Trente) Cristina Brancaglion (Université de Milan) Franca Bruera (Université de Turin) Alessandro Costantini (Université de Venise) Émir Delic (Université Sainte-Anne, Canada) Ylenia De Luca (université de Bari) Annick Farina (Université de Florence) Anna Giaufret (Université de Gênes) Marco Modenesi (Université de Milan) Chiara Molinari (Université de Milan) Paola Puccini (Université de Bologne) Myriam Vien (Université de Bologne) Nadine Vincent (Université de Sherbrooke, Québec) Anna Zoppellari (Université de Trieste) Valeria Zotti (Université de Bologne) Comité d’organisation : Gerardo Acerenza (Université de Trente) Myriam Vien (Université de Bologne) Antonella Neri (Université de Trente) Silvia Fedrizzi (Université de Trente)
Nom du contact: 
Gerardo Acerenza
Courriel du contact: 
gerardo.acerenza@unitn.it
Adresse postale: 
Via Tommaso Gar, n. 14 - 38122 Trento
Suggéré par: 
Gerardo Acerenza
Courriel: 
gerardo.acerenza@unitn.it
Date de début ou date limite de l'événement: 
15/01/2021
Ville de l'événement: 
Trento
Type d'événement: 
Appels à contribution
Catégorie principale: 
Mots-clés: 
Québec - France

«Ticontre. Teoria Testo Traduzione», XIII (2020)

Contenu de l'annonce: 

The new issue (XIII, 2020) of the academic journal "Ticontre. Teoria Testo. Traduzione" is now available at http://www.ticontre.org/ojs/index.php/t3/issue/view/15
The monographic section is dedicated to Cesare Pavese and...

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Mots-clés: 
Cesare Pavese
ISSN format électronique: 
ISSN 2284-4473
Catégorie principale: 
Courriel: 
alessandraelisa.visinoni@unibg.it
Date de mise en ligne: 
Vendredi, Juillet 31, 2020
Date de parution: 
Vendredi, Juillet 31, 2020
Suggéré par: 
Alessandra Visinoni

CFP «Ticontre. Teoria Testo Traduzione», XV (Maggio 2021): Sezioni fisse

Résumé de l'annonce (2 lignes maximum): 
Aperta la CFP per le sezioni fisse del primo numero del 2021 (XV, Maggio) della rivista accademica "Ticontre. Teoria Testo Traduzione"
La rivista "Ticontre.Teoria Testo Traduzione" ha aperto la call for paper per le tre sezioni fisse del primo numero del 2021 («Ticontre» XV, maggio 2021): Saggi – nei quali trovano posto interventi critici di varia natura –, Teoria e pratica della traduzione – sezione che raccoglie interventi di carattere traduttologico, nonché traduzioni di testi letterari corredate da una nota di commento –, infine la sezione Reprints, la quale ospita testi di grande importanza scientifica e/o per la storia della disciplina non ancora tradotti in italiano o non più reperibili. Chi fosse interessato a sottoporre una proposta per la sezione Saggi o Teoria e pratica della traduzione , dovrà inviare un abstract all’indirizzo proposal@ticontre.org. La proposta di articolo deve contenere il titolo, uno stringato profilo dell’autore (massimo 150 parole), un abstract esteso (minimo 800 parole, massimo 1.200 parole) e una bibliografia di riferimento. All’interno dell’abstract devono essere indicati anche il taglio critico e/o le metodologie che si intendono adottare. Si invitano gli interessati a consultare la presentazione della rivista (link) nella quale sono indicate le aree di interesse di «Ticontre». La scadenza per l’invio degli abstract di proposta è il 27 settembre 2020; la Redazione comunicherà l’esito della valutazione entro il 10 ottobre 2020. Il termine ultimo per inviare gli articoli selezionati sarà il 22 novembre 2020, per essere quindi sottoposti al processo di peer-review, previo vaglio da parte della Redazione.
Nom du contact: 
Redazione rivista "Ticontre. Teoria Testo Traduzione"
Courriel du contact: 
proposal@ticontre.org
Suggéré par: 
Alessandra Visinoni
Courriel: 
alessandraelisa.visinoni@unibg.it
Date de début ou date limite de l'événement: 
23/07/2020
Date de fin de l'événement: 
27/09/2020
Ville de l'événement: 
Trento
Type d'événement: 
Appels à contribution
Catégorie principale: 

Panser et repenser l'œuvre : le concept de restauration

Résumé de l'annonce (2 lignes maximum): 
Journée d’Étude Jeunes Chercheurs Lettres / Histoire / Sciences humaines, 7 avril 2021
Journée d’Étude Jeunes Chercheurs Lettres / Histoire / Sciences humaines « Panser et repenser l’œuvre : le concept de restauration » Université Littoral Côte d’Opale, Boulogne-sur-Mer, Centre universitaire du Musée Mercredi 7 avril 2021 Unité de Recherche sur l’Histoire, les Langues, les Littératures et l’Interculturel (UR 4030 HLLI)   Argumentaire La restauration peut recouvrir de larges champs d’études selon les domaines abordés. Les dictionnaires usuels s’accordent pour ce terme sur la valeur de « réparation ». Néanmoins, l’étymologie du mot « restaurer » possède une ramification très riche de sens qui a pour tronc commun l’idée de « réparer », « raviver », « redonner son éclat ». Le terme est emprunté au latin impérial restaurare qui signifie « rebâtir, refaire » et en latin tardif « reprendre, renouveler ». Au Xe siècle, il possède le sens de « guérir une blessure, un organe malade » et celui de « rendre l’usage d’une partie du corps », voire de « redonner des forces à quelqu’un. ». Dès le XIIe siècle, il s’est employé plus spécialement en architecture dans le sens général de « remettre dans un état antérieur ». En ancien français, on rencontre encore ce mot dans les sens de « remplacer quelque chose », « compenser » ou « dédommager ». Au XIXe siècle, Eugène Viollet-le-Duc apporte un nouvel éclairage à cette définition en modulant le concept de restauration : « Le mot et la chose sont modernes. Restaurer un édifice, ce n’est pas l’entretenir, le réparer ou le refaire, c’est le rétablir dans un état complet qui peut n’avoir jamais existé à un moment donné ». Loin de limiter l’acte de restaurer à la simple réparation, Viollet-le-Duc imagine un état hypothétique de l’œuvre archétype à restituer en respectant le style d’une époque précise. Ce n’est pas tant l’idée d’obtenir la version originale d’une œuvre qui prime mais plutôt celle de retrouver un lustre d’authenticité. Eu égard à la force sémantique de « restaurer », il serait intéressant d’interroger cette notion au regard des œuvres perdues. L’œuvre perdue est à entendre en tant qu’œuvre altérée ou ruinée, à savoir toute œuvre historique ou littéraire ayant subi les sévices du temps et/ou de l’homme.   Axes de recherche  Sans exclure pour autant toute approche relevant du champ de l’histoire de l’art, cette Journée d’Étude centrée sur le concept de restauration d’une œuvre privilégiera les approches historiques et littéraires. Approche historique L’approche historique du concept de restauration nous amènera à réfléchir autour de deux principaux points. Le premier point aborde la démarche scientifique qui encadre l’exécution des travaux de restauration : outils et supports, planification, recours aux nouvelles techniques virtuelles, choix des matériaux, niveau de maîtrise, main-d’œuvre, mécénat, etc. En effet, la restauration est riche d’une compilation de connaissances et de capacités d’expertise à l’exemple de Cesare Brandi et de ses travaux de restauration comparée entre la France et l’Italie. Le second point porte sur la nature des œuvres restaurées. Ainsi, l’étude d’infrastructures tant économiques qu’administratives ou urbaines comme le port, les quartiers, la ville ou encore l’industrie ainsi que de la documentation historique produite telle que la monographie ou bien les photographies entre autres, offre des renseignements sur la manière dont la restauration est acceptée, légitimée et réintroduite au sein d’un environnement économique, politique, culturel et social à l’image de la reconstruction des ports et villes martyres de la Seconde Guerre mondiale. L’attention pourra se porter également sur des œuvres corrompues, détériorées, partiellement ou totalement détruites ou encore disparues. De ce point de vue, il sera intéressant de doubler la perspective historique d’une approche littéraire.   Approche littéraire En effet, les nombreux domaines qui constituent la littérature peuvent appeler une extrême rigueur dans les démarches scientifiques employées et disposent d'autres outils d’analyse pour sonder le concept de restauration. Le premier aspect peut se concentrer sur l’état de l’œuvre à restaurer et sur les méthodes adaptées ou choisies pour y parvenir. En effet, si l’on songe au domaine de la philologie et à l’édition de textes anciens, se posent un certain nombre de questionnements avant le travail même de la restauration : la nature de l’œuvre, le nombre d’exemplaires, la qualité des exemplaires conservés, l'accès aux sources, la question épineuse de la fiabilité, etc. De même, l’expertise se complexifie lorsque l’archétype initial a disparu ou encore lorsque le manuscrit appartient à une collection privée non consultable. Le contexte in situ de l’œuvre à restaurer et son mode de diffusion sont à prendre en considération si l’on songe par exemple à la censure qui a contraint un auteur ou un éditeur à remanier telle ou telle version de son œuvre ou encore aux éditions pirates du XVIIIe siècle concomitantes à la véritable œuvre. Les nouvelles données acquises sur une œuvre peuvent également permettre de définir une méthode si l’on pense à la critique génétique et à l’étude des brouillons d’auteur. L’éditeur doit s’adapter en fonction des matériaux mis à sa disposition et posséder des compétences multiples dans des domaines variés pour restituer, reconstituer et restaurer sur mesure. Le second aspect peut porter sur les raisons et les objectifs qui motivent la restauration d’une œuvre et sur le degré et la forme de restauration. Restaure-t-on à l’image de l’original ? Pour apporter plus de précisions ? Attend-on une copie conforme ? Doit-elle être rendue en intégralité ou en partie ? Ou essaie-t-on de redonner une forme à l’œuvre perdue ? À ce titre, tout ce qui est périphérique tel que l’apparat critique, les notes ou les préfaces, entre autres choses, ou tout ce qui est de l’ordre des ajouts, comme des illustrations, peut apporter des renseignements sur l’œuvre restaurée et légitimer sa réintroduction sous une forme déterminée. Les diverses pistes historiques et littéraires évoquées pour le concept de restauration d’une œuvre peuvent être interchangeables d’un domaine à un autre ou peuvent être combinées. D’autres perspectives peuvent compléter ces réflexions. Néanmoins, il est attendu que les œuvres en perdition étudiées impliquent une redécouverte, une métamorphose, voire un total renouveau, en définitive, que l’œuvre perdue ait été pansée au sens presque médical, à savoir réparée, rétablie ou repensée. Il ne s’agit pas de réinvestir les aspects mémoriels, poétiques ou fantasmagoriques que suscitent ces œuvres perdues mais plutôt de les réévaluer à leur juste place et de les penser comme un terrain propice à la sauvegarde du patrimoine culturel et historique. Loin d’être exhaustifs pour soulever la notion de restauration d’une œuvre perdue, les questionnements suivants pourront être abordés : Comment et pourquoi faire revivre un modèle perdu ? Comment une œuvre est-elle perçue quand elle est réintégrée dans son flux historique ? Qu’apprenons-nous sur la période historique considérée ? Convient-il de reconstituer pour mieux reconstruire ou pour mieux préserver ? Comment la nouvelle œuvre est-elle appréhendée lorsque nous sommes encore en possession de l’œuvre originale ?   Comité scientifique Jean Devaux, Professeur à l’ULCO, Littérature française du Moyen Âge et de la Renaissance Xavier Escudero, Professeur à l’ULCO, Études hispaniques Jean-Louis Podvin, Professeur à l’ULCO, Histoire ancienne, Directeur de l’UR HLLI   Modalités de soumission Pour cette Journée d’Étude, nous prendrons uniquement en considération les propositions de jeunes chercheurs (doctorants et jeunes post-doctorants). Dans une perspective pluridisciplinaire, nous souhaiterions croiser les regards de littéraires et d’historiens sur cette thématique. Les spécialistes d’autres disciplines d’arts ou de sciences humaines ou de sciences du langage peuvent bien entendu proposer des communications pour cette journée si elles éclairent l’un des points mentionnés ci-dessus. Les interventions seront limitées à 25 minutes. Les propositions de communications se présenteront sous la forme d’un résumé d’une dizaine de lignes précédé d’un titre provisoire. Elles seront suivies d’un bref curriculum vitae. Ces propositions sont à soumettre par mail sous un format lisible (Word, OpenOffice, PDF) aux organisatrices Grace Baillet, Virginie Picot et Cécile Rault avant le 16 septembre 2020 à l’adresse mail suivante : manifestationULCO@gmail.com  Une réponse individuelle sera communiquée par mail à partir du 16 octobre 2020. Pour toute information pratique supplémentaire concernant la journée d’étude, merci d’écrire à la même adresse. Il est à noter que l’Unité de Recherche HLLI ne pourra pas prendre en charge les frais de déplacement.
Nom du contact: 
Grace Baillet
Courriel du contact: 
ulcogracebaillet@gmail.com
Adresse postale: 
34 Grand rue 62200 Boulogne-sur-Mer
Suggéré par: 
Baillet Grace
Courriel: 
ulcogracebaillet@gmail.com
Date de début ou date limite de l'événement: 
15/09/2020
Ville de l'événement: 
Boulogne-sur-Mer
Type d'événement: 
Appels à contribution
Catégorie principale: 
Mots-clés: 
œuvre, restauration, reconstruction, métamorphoses, méthodes

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